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Actualités news (859)

Remise de prix aux laureats du Concours National de production des données de qualité 2017 dans DHIS2

 Dans le but de promouvoir la culture de la production et l’utilisation des données de qualité au Mali à travers le système National d’Information Sanitaire et Sociale (SNIS) sur la plateforme District Health Information Software version 2 (DHIS2), une compétition a été lancée le 20 janvier 2018 entre les structures productrices de l’information sanitaire a tous les niveaux  de la pyramide.

C’est dans ce cadre qu’une cérémonie de remise de prix aux lauréats  a eu lieu ce vendredi 8 juin 2018 à l’hôtel Sheraton de Djicoroni Para.

 En présence du Maire de la commune 4 du district de Bamako, la directrice adjointe de l’USAID,  la directrice de Measure Evaluation, le représentant du ministre de la Sante et de l’Hygiène Publique et plusieurs personnalités.

L’objectif de ce concours était de promouvoir une culture d’excellence dans la production et l’utilisation des données de qualité.

A l’issue de ce concours, cinq(5) CSCOM, deux(2) CSRéf, et un Hôpital ont été lauréats.

 Les lauréats en plus du diplôme de reconnaissance ont reçus des matériaux informatiques  suivants : Ordinateurs portables, vidéoprojecteurs, imprimantes et des tablettes.

Le représentant du ministre de la santé et de l’hygiène publique  après avoir salué la présence de tout un chacun, a félicité et remercié les lauréats.

En rappelant que dans le cadre de renforcement du SIS, Le Mali a procédé a une transition réussie entre l’application DESAM III et la plateforme dont le lancement a été fait en juin 2017, le Mali dispose d’un SIS moderne, fiable et efficient capables de répondre aux ambitions du système de santé du pays dans le but ultime d’assurer un mieux-être aux populations. Sachons que la qualité des données reste toujours un défi majeur, c’est pourquoi le ministère de la santé et de l’hygiène publique, conformément a ses missions adopte en 2015 compte améliorer la qualité des données en mettant en place un système de promotion de l’excellence a tous les niveaux. Mes remerciements vont à l’endroit des partenaires techniques et financiers pour cette initiative et pour des efforts consentis.

Retrouvez l'images des moments sur notre page facebook

 

 

 

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Page noire: Le Mali en deuil, le Pr Ogobara Doumbo n'est plus

C'est avec tristesse que nous vous informons de la disparition du Pr Ogobara Doumbo, décès survenu ce samedi 9 juin 2018 à Marseille.

Chercheur de renommée mondiale, le Pr Ogobara Doumbo restera comme un scientifique ayant marqué son temps par ses recherches notamment dans la lutte contre le paludisme d'où il présida le Centre de recherche et de formation sur le paludisme appelé (MRTC).

A sa famille éplorée, nous présentons nos condoléances les plus attristées.
L’arrivée de la dépouille mortelle et la date de l’enterrement feront l’objet d’un communiqué ultérieur.

Que son âme repose en paix.
Amen.

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Le Pr Samba Sow Ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique et son personnel à la rupture collective de jeûne

La rupture collective de jeûne devenue une tradition au Ministère de la santé et de l’Hygiène publique .
Conformément aux principes de l’Islam qui recommandent la solidarité et le partage au cours de ce mois béni,
le ministre de la santé a invité l’ensemble de son personnel à savoir les membres du cabinet et du secrétariat général; les représentants des services centraux et rattaché du Ministère, les représentants des organismes personnalisés; aux représentants des EPH, sans oublier les CSREF des 6 communes de Bamako, les syndicats (SNS-AS-PF, FESYSAM, SYNATRAS, SYMEMA, SYNACAM) les représentants des Ordres Professionnels de Santé et les représentants des médias comme à l’accoutumé à la rupture de jeune collective.
 C’était le vendredi 1 juin 2018 dans la cours de CNAM.

La rupture de jeûne a été suivie d’une prière collective et des bénédictions pour le Mali.
Rappelons que cette rupture collective avec le personnel de la santé  est une initiative du Pr Samba Sow Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique .
En images les moments forts sur notre page facebook

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Situation épidémiologique de la 22ème semaine de l’année 2018

La situation épidémiologique de la semaine a été caractérisée une augmentation du nombre de cas suspects de rougeole  dans le district sanitaire de Bougouni. La vaccination de riposte contre la rougeole dans les districts sanitaires de Kati et Gourma Rharous fait état de 2 760 enfants vaccinés de 6 mois à 14 ans dans l’aire de santé de Bambara Maoudé, soit une couverture de 100,84% ; de 10 410 enfants vaccinés de 6 mois à 14 ans dans l’aire de santé de Bancoumana, soit 134 %. Par ailleurs, Aucun cas suspect de maladie à Virus Ebola n’a été notifié. les actions entreprises cette semaine ont été entre autres, la tenue d’une séance de travail avec le chef de la sécurité de l’aéroport, les nouveaux agents affectés au cordon et le DOU-SP ; la poursuite du contrôle au niveau de douze (12) cordons sanitaires, y compris celui de l’Aéroport  International Président Modibo KEITA- Sénou : 1 041 passagers dans 301 véhicules et 4 702 passagers dans 82 aéronefs ont été contrôlés. Télécharger le bulletin et la situation épidémiologique pour plus de détails

 

 

 

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Rupture collective de jeun à Golden Life American hopital

Ce jeudi 31 mai 2018, s'est déroulée la cérémonie de rupture collective de jeun à Golden Life American hopital sur invitation de la direction générale dudit l'hôpital  des membres du cabinet du ministère en charge de la santé et tous les chefs des services  centraux, organismes personnalisés et rattachés  sous l'impulsion du Dr Lasseni KONATE, Ex SEGAL dudit ministère.
A la rupture,  deux allocutions ont été prononcées à l'endroit des invités.
Un mot de remerciement, de reconnaissance  à l'endroit des hôtes pour leur présence effective par le directeur de l'hôpital.  En suite le geste de reconnaissance et de satisfaction pour le partage durant ce mois de ramadan selon le SEGAL Dr Mama COUMARE.
Le directeur dans son intervention à remercier les membres du cabinet du  ministère de de la santé et de l’hygiène publique  pour l’opportunité offerte une fois de plus après la cérémonie inauguration.
Selon le SEGAL, il ne s'agit pas d'insuffisance de nourriture aux uns et autres,  car nous sommes en face des premiers responsables des différents services centraux, d’organismes personnalisés  et rattachés du ministère de la santé et de l'Hygiène publique en plus des membres du cabinet. Notre mission commune  est la prise en charge de la santé de la population, ce geste prouve une fois de plus l'engagement, la volonté dans la collaboration entre l'hôpital qui contribue à la réduction des évacuations sanitaires en dehors du Mali et la mise en œuvre de la politique sanitaire du Mali. Au nom du Ministre de  la santé et de l'Hygiène Publique empêché à la dernière minute pour des raisons de service, le SEGAL Dr Mama COUMARE a tenu à saluer l'engagement, le respect et la franche collaboration jusqu'ici depuis l'ouverture officielle de l’hôpital  à nos jours. Que la Direction reçoit les félicitations  et les remerciements  au nom du Ministre et  tous ses collaborateurs.  Pour terminer il a rassuré la direction de l’hôpital  que  le ministère ne ménagera aucun effort pour leur appui et  accompagnement selon la sollicitation du directeur lors de son intervention.

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«Le gouvernement malien a compris la question de l'e-santé», selon le docteur Ousmane Ly, invité Afrique sur RFI

 

Comment mieux se soigner lorsqu’on habite dans une région isolée ? Comment avoir accès à un spécialiste, sans avoir à parcourir des kilomètres ? Ce sont les défis auxquels s’attaque l’e-santé, ou santé numérique : s’appuyer sur les technologies de l’information et de la communication, pour faciliter les échanges entre soignants, ou leur permettre de mener des téléconsultations, à distance. Le Mali est l’un des pays d’Afrique à avoir investi dans la cybersanté. Le docteur Ousmane Ly, directeur général de l’Agence Nationale de Télésanté et d’Informatique Médicale, répond aux questions de Magali Lagrange.
A Écouter l'interview sur RFI.FR

 

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EBOLA RDC - Evolution de la riposte de l'épidémie d'Ebola au samedi 12 mai 2018

  • Le Ministre de la Santé, le Dr Oly Ilunga Kalenga, est arrivé à Mbandaka avec sa délégation ce samedi 12 mai 2018. Le Ministre était accompagné du Directeur Général de la Direction Générale de Lutte contre la Maladie (DGLM), le Dr Ndjoloko Tambwe Bathe, du Représentant de l’OMS en RDC, le Dr Allarangar Yokouidé, et du Représentant de l’UNICEF, le Dr Gianfranco Rotigliano.
  • La délégation a été accueillie à l’aéroport de Mbandaka par le Gouverneur de la Province de l’Equateur, Bobo Boloko, et le chef de la Division Provinciale de la Santé (DPS). Ils ont tenu une réunion de travail durant laquelle le chef de la DPS a présenté la situation épidémiologique, l’adaptation du plan de riposte au niveau provincial, et les préoccupations des équipes provinciales.
  • Lors de cette réunion, le Ministre de la Santé a fait une longue déclaration pour marquer son soutien total aux équipes provinciales. Il a rappelé que ce n’est pas la province a elle seule qui doit faire face à l’épidémie d’Ebola mais c’est la Nation toute entière. Par conséquent, il faut renforcer la coordination entre les 3 niveaux de la riposte – national, provincial et local – qui doivent travailler main dans la main. Au-delà de la réponse à l’épidémie actuelle, toutes les actions et décisions du Ministère de la Santé visent à renforcer les ressources humaines locales en les formant car c’est le meilleur moyen d'améliorer la résilience du système sanitaire congolais sur le long terme.
  • Le Ministre de la Santé a également abordé la question des vaccins contre Ebola qui seront exclusivement administrés aux professionnels de la santé directement exposés et aux personnes ayant été en contact avec des cas confirmés d’Ebola. Bien qu’utiles pour briser rapidement la chaîne de transmission du virus Ebola, le Ministre a expliqué que le succès réel de la riposte ne dépendra pas uniquement des vaccins mais de l’application rigoureuse des mesures de santé publique par les professionnels de la santé.

Descente sur le terrain à Bikoro

  • La délégation s’est ensuite rendue à l’épicentre de l’épidémie à Bikoro pour palper du doigt les réalités du terrain. Lors de l’entretien avec le médecin chef de zone à l’Institut Technique Médical (ITM) de Bikoro, le Ministre de la Santé a félicité les professionnels de la santé de la zone de santé pour leur professionnalisme et leur patriotisme car c’est la notification des cas suspects de leur part qui a permis le déploiement rapide des moyens et ressources nécessaires pour la riposte.
  • Plusieurs recommandations ont été faites afin de renforcer l’organisation de la riposte sur place telles que l’installation rapide de points d’eau chlorée à l’entrée de tous les lieux de rassemblement et la pratique des enterrements dignes et sécurisés. Par ailleurs, il a été conseillé de maintenir les écoles ouvertes en prenant toutefois les dispositions nécessaires pour veiller à la sécurité des enfants, à savoir prendre la température des enfants tous les matins à leur arrivée, et le lavage des mains à l’arrivée et à la sorite de l’école.  
  • Tous les piliers de la société doivent être associés à la riposte contre Ebola. Ainsi, le Ministre de la Santé fut ravi de rencontrer les autorités coutumières locales qui lui ont confirmé qu’elles étaient pleinement impliquées dans la sensibilisation de la communauté.
  • La délégation s’est également rendue à l’Hôpital Général de Bikoro où elle a échangé avec le Médecin Directeur à propos de l’installation prochaine d’un centre de traitement d’Ebola et de l’instauration de la gratuité des soins durant toute la période de l’épidémie.  

Organisation de la riposte

  • L’Hôpital Général de Référence de Bikoro a placé les deux cas confirmés d’Ebola dans une zone d’isolement en attendant la construction prochaine du centre de traitement d’Ebola.
  • Une équipe additionnelle d’experts venant de Kinshasa a été déployée et a acheminé un nouveau lot d’équipements comprenant notamment des kits de protection individuelle pour le personnel de santé et les deux laboratoires mobiles de l’Institut National de Recherche Biomédicale (INRB).
  • Le Programme National d’Hygiène aux Frontières (PNHF) a activé les mesures standards de surveillance épidémiologique et de protection aux voies d’entrée aériennes, maritimes et routières de Mbandaka. Il s’agit notamment du lavage des mains à l’eau chlorée et du contrôle de la température avec les thermomètres laser.
  • Le Programme National de Communication et de Promotion de la Santé (PNCPS) a envoyé les premiers lots de matériel de communication comprenant des affiches, dépliants, spots TV et radio, et mégaphones. Les affiches ont déjà été placées dans tous les lieux publics de la zone de santé de Bikoro. Des ateliers sont prévus afin d’actualiser les messages et les traduire en langues locales. D'autres ateliers seront organisés dès la semaine prochaine pour les animateurs des médias de la province.
  • La prise en charge psychosociale des patients et de leurs proches a commencé. Elle est assurée pour tous les cas suspects ainsi que pour les membres de leur famille et toute personne en contact avec les patients, y compris leurs garde-malades. 
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Lutte contre les médicaments illicites : Pr Samba Sow salue la vigilance de la douane malienne à Kouremalé

En visite à Kouremalé, le jeudi 10 mai dernier, village frontière avec la Guinée, le ministre de la Santé et de l'Hygiène publique, Pr Samba Sow, a découvert une importante quantité de faux médicaments ou médicaments de contrefaçon, saisie par la brigade locale de la douane. Connaissant les méfaits de tels produits sur la santé de leurs consommateurs, le ministre a expliqué le risque que la douane a écarté ainsi de la population. Les produits saisis comprennent des antibiotiques de troisième génération comme Ceftriaxone Sodique, prescrits que dans des cas d'extrême nécessité par des spécialistes en soins médicaux. " Retrouver ainsi ces produits dans la rue, dans les mauvais conditionnements, ou entre les mains des personnes non qualifiées, constitue un danger auquel nous sommes tous exposés directement ou indirectement ", a-t-il exclamé.

La saisie de la Brigade de douane dirigée par le Commandant Traoré, comprend aussi des drogues comme Tramadol, le bourreau de la jeunesse ; La Force Tranquille, une drogue liquide ; Reelix extra ; etc. Leur prise impacte négativement la santé de leurs consommateurs qui risquent des insuffisances cardiaques, rénales, des troubles psychiques, des cancers de foie et autres...

Lors de sa visite de courtoisie à la chefferie traditionnelle le même jour, le ministre a invité le chef de village Bourama Keita à informer sa population sur les méfaits de ces genres de médicaments.
Celui-ci a pris l'engagement de faire passer le message aux habitants de son village.
Les produits saisis feront l'objet d'une destruction dans les prochains jours. Le ministre Sow a promis des actions de sensibilisation pour un changement de comportements vis-à-vis de ces faux médicaments. Ceux-ci, faut le rappeler, engendrent aujourd’hui beaucoup de problèmes sanitaires.  En plus des conséquences sanitaires affreuses, l’introduction frauduleuse de ces médicaments sur nos marchés, entraine un véritable désastre économique pour notre pays. Une campagne nationale d’information et de sensibilisation, suivie de mesures répressives, parait impérative.   

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Le ministre de la Santé, Pr Samba Sow rend hommage aux sages femmes du Mali.

À l'occasion de la cérémonie de commémoration du 4 mai, Journée internationale de la Sage-femme, qu'il a présidée, le ministre de la santé et de l'hygiène publique, Pr Samba Sow, a rendu un hommage mérité aux sages femmes du Mali pour leurs efforts inlassables en faveur la santé de la mère et de l'enfant, qui constitue une priorité pour les autorités sanitaires du Mali.

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MESSAGE DU MSHP A L’OCCASION E LA CELEBRATION DE LA JOURNEE MONDIALE DE LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Chers Compatriotes,

Le 25 avril, notre pays, à l’instar de la communauté internationale, célèbre la Journée mondiale de lutte contre le paludisme. L’objectif principal de cette Journée est de renforcer le plaidoyer et la mobilisation sociale autour des stratégies de lutte contre le paludisme. Pour cette année, la campagne aura pour thème : « Prêts à vaincre le paludisme ». Un thème qui reflète la vision d’un monde exempt de la maladie telle que défini dans la stratégie mondiale contre le paludisme 2016-2030.

Dans notre pays, le paludisme constitue encore un véritable problème de santé publique et représente 32% des motifs de consultation dont 0,5% de décès. Les statistiques sanitaires ainsi que les rapports fournis par les Agents de Santé communautaire (ASC) en 2017 font état de 2 097 797 cas de paludisme dans les formations sanitaires publiques.
Les enfants de moins de cinq ans, les femmes enceintes, les populations déplacées qui constituent la frange la plus vulnérable payent le plus lourd tribut face à cette maladie.

Sur le plan économique, le paludisme affecte la croissance économique annuelle de notre pays et demeure l’une des principales causes de l’absentéisme au travail ou à l’école.

Chers Compatriotes,

Pour y faire face, nous devons appliquer rigoureusement les stratégies actuelles de contrôle du paludisme auxquelles notre pays a souscrit à savoir :
• La prévention par l’utilisation, en toutes saisons, des moustiquaires imprégnées d’insecticides à longue durée d’action (MILD) ;
• Le traitement préventif intermittent (TPI) du paludisme chez la femme enceinte ;
• La chimio prévention du paludisme saisonnier (CPS) chez les enfants de moins de cinq ans recommandée par l’OMS en mars 2012 comme politique de lutte contre le paludisme dans les pays du sahel, étendue à l’ensemble du pays depuis 2016 ;
• La pulvérisation intra-domiciliaire (PID) ;
• La confirmation systématique de tout cas suspect de paludisme et un traitement précoce et approprié de cas confirmés ;
• La prédiction, la prévention et la gestion des épidémies de paludisme
• La communication et la mobilisation sociale ;
• La recherche ;
• Le suivi/évaluation.

Pour parvenir à la mise en œuvre de ces stratégies, l’Etat et ses partenaires vont mobiliser au cours de cette année 2018 plus de 32 milliards FCFA dans les activités de lutte contre la Paludisme.

Chers Compatriotes,

En outre, nous devons intensifier la sensibilisation au sein des communautés, l’information à travers les radios de proximité et la communication interpersonnelle en vue d’obtenir de meilleurs résultats. Ensemble, nous devons relever l’immense défi de l’objectif 3 des Objectifs du Développement Durable à savoir : « la bonne santé et le bien être de tous ».

Je lance un appel aux populations pour qu’elles adoptent quelques réflexes, notamment « dormir en toute saison sous une moustiquaire imprégnée à longue durée d’action ; assainir leur cadre de vie pour empêcher une prolifération des moustiques qui sont les vecteurs du paludisme. L’observance de ces comportements, ajoutée aux énormes efforts déployés par l’État et ses partenaires, contribuera à vaincre le paludisme ».

J’en appelle au personnel socio-sanitaire à plus de persévérance pour la préservation et le renforcement des acquis dans le domaine de la lutte contre le paludisme.

Q’Allah aide le Mali !
Je vous remercie !

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