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LUTTE CONTRE LE TRACHOME : Bientôt un nouveau traitement introduit au Mali

Le ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, Pr Samba Sow a profité de la cérémonie de lancement de la campagne de distribution gratuite de moustiquaires imprégnées à longue durée à Sikasso pour annoncer l’introduction du nouveau traitement (Azythromycine) contre le trachome dans notre pays. Selon le ministre, ce traitement, qui a fait ses preuves en Éthiopie, au Malawi et au Kenya, sera bientôt disponible à Bamako et à Sikasso, conformément à la volonté des plus hautes autorités de notre pays. De l’avis du Pr. Samba Sow, ce traitement, en plus d’être efficace contre le trachome, a permis de réduire le taux de mortalité infantile (de 0 à 5 ans) et des femmes enceintes dans les pays où il est pratiqué de nos jours.
Source : l'Indicateur du renouveau

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LUTTE CONTRE LE PALUDISME: Plus 2 197 994 MILD pour 346 403 ménages à Sikasso

 

Le Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, Pr Samba Ousmane Sow, a officiellement lancé l’édition 2018 de la campagne de distribution gratuite de moustiquaires imprégnées d’insecticide de longue durée d’action (MILD) dans la région de Sikasso, le jeudi 1 novembre 2018, au centre de santé communautaire de wayerma II dans la commune urbaine de Sikasso. Pour la campagne 2018, il est prévu la distribution de 2 197 994 MILD à 346 403 ménages dans la région de Sikasso.

Selon le système d’Information sanitaire, le paludisme a constitué 32% des motifs de consultation (DHIS2, février 2017) avec des répercussions socio-économiques sur les populations. Les enfants de moins cinq, les femmes enceintes, les populations déplacées, les citadins en sont les plus vulnérables. En 2017, il a été enregistré 2 097 797 cas de paludisme dans les formations sanitaires dont 1 424 223 cas simples, 673 574 cas graves, 1050 décès notifiés, avec un taux de létalité de 0, 50%.L’un des meilleurs moyens de lutter efficacement contre le paludisme est de dormir sous une moustiquaire imprégnée d’insecticide à longue durée d’action. Selon RBM ITN Working Group Mars 2004, avec 80% de couverture en moustiquaire imprégnée d’insecticide on peut réduire de 50% le nombre d’épisodes de paludisme par les populations et 10% le nombre de décès parmi les enfants de moins de 5 ans par an. Les approches de distribution des MILD au Mali sont la routine et la campagne de masse. La distribution de routine ne concerne que la cible PEV(les enfants de moins d’un an qui constituent 4% de la population) et la cible CPN(les femmes enceintes qui constituent 5% de la population). La couverture universelle est mise en place pour couvrir le reste de la population (plus de 90% de la population) en vue de réduire le réservoir de parasites et la transmission du paludisme.

C'est pour assurer une couverture universelle (100%) de la region de Sikasso en raison de 1 MILD pour 2 personnes; sensibiliser et protéger 80% de la population de la région contre le paludisme à travers l'utilisation de la MILD d'ici fin décembre 2018, que l'Etat malien avec l'appui du Fonds mondial, du USAID/PMI et du PSI-Mali organise cette campagne. Elle intervient après celle de la région de Koulikoro lancée, le 7 juillet 2018 à Baguineda. La campagne 2018 dans la région de Sikasso concerne 346 403 ménages pour une population de 4 487 620 habitants dont le besoin réel en MILD est 2 197 994 MILD. Elle mobilisera du 3 au 7 novembre 2018, dans la région de Sikasso, 4934 agents de dénombrement, 2559 agents distributeurs, 504 superviseurs de proximité, 40 superviseurs du niveau district sanitaire, 10 superviseurs au niveau central, 2456 mobilisateurs sociaux et 50 radios de proximité. Le coût de la campagne s'élève à 404 millions de FCFA, financés par Le fonds mondial de lutte contre la tuberculose, le VIH SIDA et le paludisme.

Le représentant du chef du quartier de Wayerma II, Amadou Bengaly a remercié le gouvernement et ses partenaires pour le choix porté sur son quartier pour le lancement de la campagne, qui permettra de sauver des vies.

Selon Kalfa Sanogo, maire de la commune urbaine de Sikasso, la campagne de distribution gratuite de MILD est un acte de sauvetage publique surtout dans une zone humide comme Sikasso où le paludisme handicape les forces productrices. A ses dires, cette campagne contribuera au développement économique de Sikasso. Il a également appelé les populations à faire bon usage des nouvelles moustiquaires.

Alex Brown, représentant résident du PSI Mali, a, au nom du fonds mondial, loué les efforts consentis par le gouvernement du Mali dans la lutte contre le paludisme. Il a aussi rassuré l’Etat du Mali de l’accompagnement du fonds mondial pour vaincre le paludisme, la tuberculose et le Sida "Nous sommes très fiers d'être un partenaire de programme national de lutte contre le paludisme", a-t-il ajouté.

Le Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, Pr Samba Ousmane Sow, a d'abord rendu un vibrant hommage au feu Pr Ogobara Doumbo pour ses efforts dans la lutte contre le paludisme au Mali et dans le monde entier. Il a ensuite remercié la population, les autorités coutumières et religieuses et toute l'équipe médicale de Sikasso pour leur accueil chaleureux. Il a, au nom du Président de la République Ibrahim Boubacar Keita et du gouvernement, réitéré la gratitude du Mali aux partenaires techniques et financiers pour leur soutien dans la lutte contre le paludisme en particulier et en général dans la l'amélioration de la santé des Maliens. Il a affirmé que le gouvernement malien, à travers le ministère de la Santé et de l'Hygiène Publique, ne menagera aucun efforts pour vaincre le paludisme "la lutte contre le paludisme a toujours été au cœur des priorités du Président de la République Ibrahim Boubacar Keita en témoigne sa derrière mission assignée au gouvernement" a martelé le ministre Sow.
Source : l'Indicateur du renouveau

 

 

 

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EN VISITE SUR LE CHANTIER DE RENOVATION DU CSREF DE LA CIV: Le ministre Samba Sow exige la fin des travaux d’ici à fin novembre 2018

 

Le ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique, Pr. Samba Sow, s'est rendu, le mardi 23 octobre 2018, sur le chantier de rénovation du Centre de santé de référence de la commune IV de Bamako pour constater l'état d'avancement des travaux, qui ont repris récemment, après plusieurs mois d'arrêt. Sur place, Pr Samba Sow a intimé l’ordre aux entrepreneurs de livrer les bâtiments avant la fin du mois de novembre.

Le ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique s'est rendu sur le chantier du Cs-réf de la Commune IV, sis à Lafiabougou.
Lancé en 2016, le projet de rénovation du Cs-réf est reparti en deux lots. Le premier lot R+2, d'une valeur de 587 millions de FCFA et exécuté par l'Entreprise Générale de Travaux et Assainissement (EGTA), comprend la pédiatrie, un laboratoire, des salles d'hospitalisation et des bureaux. Le second lot R+1, exécuté par Massa Construction, comprend entre autres la cantine, un hangar, une aire de prière pour un montant d’environ 317 millions de FCFA. Les deux lots, une fois finis, augmenteront de 75 lits la capacité d’accueil de prise en charge de ce Centre de santé de référence à forte fréquentation. Le projet est financé par le budget national. Initialement, les bâtiments devraient être livrés en août et septembre 2016. Sur place, le ministre Sow a donné des instructions fermes pour que les travaux prennent fin d'ici au 30 novembre 2018, afin que les bâtiments soient inaugurés avant la fin de l'année 2018. "Nous avons joué notre rôle, la balle est dans le camp des entreprises en charge des travaux. Les conséquences de ce retard sont énormes sur la santé des populations. Les travaux doivent être achevés, sinon le gouvernement se fera le devoir de prendre ses responsabilités", a martelé le ministre Sow.
Le représentant du maire de la commune IV, Modibo Kéita, a remercié le ministre pour sa visite, et l'a rassuré de l'accompagnement de la mairie et des populations de la commune.
Dr Mama Sy Konaké Sissoko, médecin chef du Cs-réf de la Commune IV, a, au nom du personnel, remercié le ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique pour tout ce qu'il a fait pour la Commune IV en matière de santé, depuis son entrée au gouvernement en avril 2017. Elle a évoqué les problèmes auxquels son aire de santé est confrontée. Il s'agit notamment de l'insuffisance de locaux pour le personnel, la limitation des chirurgies au niveau du Cs-réf, l’absence de magasin pour la pharmacie du Cscom de Ouezzindougou.
Pr Samba Sow a félicité, en retour le personnel pour le travail accompli, malgré les ressources limitées. Il a aussi salué la franche collaboration entre la mairie et le Cs-réf de la Commune IV. De l'avis du ministre Sow, le Cs-réf dispose de tous les atouts pour se faire ériger en hôpital de 2ème référence, dans le cadre de la réforme du système de santé en cours. Une réforme prônée, selon lui, par les plus hautes autorités de notre pays et qui permettra de surclasser les structures de santé, valoriser les ressources humaines tout en assurant des soins de santé de qualité à la population malienne. A ses dires, la réforme passera aussi par le renforcement du plateau technique des structures de santé périphériques. Car, dit-il, "les centres de santé communautaires constituent la base de la pyramide sanitaire du pays, donc un bras armé du ministère de la Santé et de l'Hygiène Publique pour la mise en œuvre des soins de santé primaires. C'est au niveau périphérique qu'on peut satisfaire les premiers besoins de soins de santé. Il faut rehausser leur niveau", a-t-il ajouté.
En marge de cette journée, le ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique, Pr Samba Sow, s’est assuré de l’état de fonctionnement du centre de santé communautaire de Sébénikoro extension, Kalabambougou et Sibiribougou (ASACOSEKASI).
A cette occasion, le ministre Sow a visité la pharmacie; le laboratoire; l'unité de consultations prénatales ; la salle d'accouchement, qui reçoit en moyenne 109 femmes par mois; la chaîne de froid (dispositif de conservation des vaccins pour le programme élargi de vaccination) et l'unité de Planification familiale (PF). Partout il est passé, le ministre Sow s'est réjoui de la propreté des lieux et du dévouement des travailleurs. Ensuite le ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique a rencontré, le personnel, les chefs coutumiers et religieux de Sébénikoro extension, Kalabambougou et Sibiribougou. L’imam, Adama Bagayoko a, au nom des populations des trois quartiers, remercié le ministre pour son déplacement dans leur Cscom, qui selon lui, prouve son engagement pour l'amélioration des structures de santé de base de notre pays.
Pr Samba Sow a félicité les travailleurs pour leur sens de patriotisme, tout en exhortant les populations à accompagner le personnel pour le bon fonctionnement de leur Cscom. Il a sollicité également leur accompagnement pour la mise à œuvre de la réforme de notre système de santé. L’un des principaux motifs de satisfaction du ministre est que ce centre soit parvenu à construire sur fonds propre un imposant bâtiment abritant le service de la maternité. Un exploit qui pourra certainement inspirer d’autres Cscom du pays.
MSHP

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LUTTE CONTRE LA POLIOMYELITE : Plus de 3 151 487 enfants à vacciner du 19 au 22 octobre 2018

Dans le cadre du 4e et dernier passage de l’année 2018 de la campagne de vaccination contre la poliomyélite, 3 151 487 enfants recevront (à partir de ce matin jusqu’au 22 octobre), leur dose de vaccin. En préventions de plusieurs infections, cette campagne est couplée à l’administration de la vitamine A.

Du 19 au 22 octobre 2018, 3 151 487 enfants de 0 à 5 ans recevront le vaccin contre la poliomyélite. Selon le département de la Santé et de l’Hygiène Publique, cette campagne vise à toucher tous les enfants de cette tranche d’âge, mêmes ceux déjà vaccinés par la campagne de routine ou lors des passages précédents. C’est pourquoi les vaccinateurs passeront de porte à porte pour atteindre les enfants à vacciner. Mieux, d’autres stratégies novatrices pourront être développées en fonction de la situation sécuritaire dans les zones d’insécurité.
Pour l’administration de la vitamine A, les cibles sont les enfants âgés de 6 à 59 mois. L’objectif de cette campagne est de contribuer à la réduction de la mortalité et la morbidité liées à la poliomyélite chez les enfants de moins de cinq ans.
La campagne concerne 47 districts sanitaires, à savoir : Bafoulabé, Diéma, Kayes, Kéniéba, Kita, Nioro, Yélimané, Kangaba, Yorosso, Barouéli, Bla, Macina, Niono, San, Ségou, Tominian, Markala Bandiagara, Bankass, Djenne, Douentza, Koro, Mopti, Ténenkou, Youwarou, Diré, Goundam, Gourma-Rharous, Niafunké, Tombouctou, Ansongo, Bourem, Gao, Ménaka, Abeibara, Kidal, Tessalit, Tin-Essako, Almoustrat, Anderamboukane, Inekar, Tidermene, Arawane, Alourche, Boujbeha, Achouratt, Foum-Alba et Taoudénit.
Ces districts ont été choisis sur la base de trois critères suivants : surveillance Paralysie flasque aiguë, immunisation et la population.
O.D

 

 

 

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PR. SAMBA SOW EN VISITE AU CHU GABRIEL TOURE: "Il faut adapter l'hôpital Gabriel Touré au poids démographique actuel".

 

 

 


Le ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique, Pr. Samba Sow a effectué, le mercredi 17 octobre 2018, une visite de travail au Centre hospitalier universitaire (CHU) Gabriel Touré afin de s'imprégner des conditions de travail. A l'issue de cette visite, Pr. Samba Sow s'est dit satisfait du travail accompli par la direction et le personnel et d’ajouter qu’" il faut adapter l'hôpital Gabriel Touré au poids démographique actuel" et cela à travers les reformes en cours. En cette circonstance, le chef du département de la Santé et de l’Hygiène Publique n’a pas manqué de mots d'encouragement à l’endroit de l’ensemble des travailleurs de cet hôpital.

 

La visite du ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique, Pr. Samba Sow, a commencé par le service d’accueil des urgences (SAU) du CHU Gabriel Touré. Ce service reçoit 80% des accidentés du Mali, des cas d'AVC (accident vasculaire cérébral). Il accueille en moyenne 70 patients par jour. De nos jours, ce service fait de Gabriel Touré le premier hôpital de référence-évacuation en cas de sinistre dans notre pays. Sous la houlette d’un spécialiste rompu à la tâche du nom de Pr. Django Djibo, le service fait face à un manque criard d'équipements. Après les urgences, le ministre s'est ensuite rendu à l'unité de néonatalogie ou service des urgences pédiatriques. Ce service dispose de 84 dispositifs tout confondu pour les nouveaux nés (berceaux, couveuses, et lampes chauffantes). Il reçoit chaque jour 30 nouveau-nés normaux ou pathologiques, âgés de 0 à 30 jours. La visite du ministre l’a conduit au service de gynécologie obstétrique. Là, 200 à 300 patients y sont enregistrés par mois. Le service comprend deux salles d'accouchement, et d’une salle d’observation pour les grossesses pathologiques. La visite s'est achevée au laboratoire d'analyses médicales et du service d’infectiologies. Doté d’une technologie capable de faire des analyses en virologie, en hématologie, en biochimie et en parasitologie, le labo est fonctionnel même si certains appareils ne fonctionnent pas faute de réactif ou de maintenance.

Le ministre a également visité la morgue pour s’assurer du respect des conditions de conservation des corps.

Le directeur général du CHU Gabriel Touré, Pr. Kassoum Sanogo, a, au nom de tous les travailleurs, remercié le ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique pour sa visite. Il a rassuré Pr. Samba Sow de leur accompagnement dans la mise en œuvre de la réforme du système de santé en cours. Il a ensuite exposé les problèmes, auxquels l'hôpital est confronté, qui sont surtout d'ordre matériel.

Le ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique, Pr Samba Sow a félicité le personnel et la direction de l'hôpital Gabriel Touré pour l’hygiène des lieux et pour l’engament du personnel, en dépit des difficultés financières. Comparativement à sa dernière visite datant d’octobre 2017, le ministre Sow a visité hier un hôpital qui a fait des efforts en matière d’hygiène, et de prise en charge des patients.

Il a justifié la nécessité de réformer l'hôpital Gabriel Touré pour l'adapter au poids démographique actuel." L'hôpital Gabriel Touré doit être érigé en hôpital de 4e référence pour soulager les populations (surtout les malades) et les travailleurs. Il est impératif de décongestionner cet hôpital aujourd'hui. Nous pensons que la réforme que nous menons, au niveau de notre système de santé, avec votre soutien, nous permettra d'atteindre cet objectif", espère-t-il. La solution aux maux dont souffre le système de santé malien, réside dans sa réforme, a indiqué le ministre Sow.

Le ministre a annoncé aux travailleurs de l’hôpital que 100 millions sur les 194 millions, que le Croissant rouge d'Abu Dhabi a octroyé à notre pays, seront investis aux services des urgences et au laboratoire d'analyses médicales du CHU Gabriel Touré. Tandis que les 94 autres millions seront investis à l’Hôpital du Point G pour mettre à niveau certains services névralgiques, dont l’unité d’hémodialyse. Le ministre a salué les efforts du président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta, qui ont, selon lui, permis d'obtenir ce fonds.

A.D.

 

 

 

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CHU DU POINT G: Pr. Samba Sow visite deux chantiers à l’arrêt

Le ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique, Pr. Samba Sow a effectué, le mardi 16 octobre 2018, une visite sur les chantiers du bloc opératoire de cardiologie et du service de rhumatologie du centre hospitalier universitaire(CHU) du Point G de Bamako. L'objectif de cette visite était de s'enquérir des problèmes afin de relancer les travaux, qui sont à l’arrêt.

Le chantier du bloc opérationnel de cardiologie du CHU du Point G a été le premier chantier visité par le ministre. Un imposant bâtiment comprenant des salles d'opération, une unité de réanimation, et des bureaux exécuté à 50%. Il est financé par le Budget national sur les exercices budgétaires 2016, 2017, 2018. Le coût des travaux de 986 000 987 FCFA pour un délai d'exécution de 8 mois. A la date d'aujourd'hui les travaux sont suspendus faute de financement.

Ensuite, c'est le chantier du service de rhumatologie du CHU du Point G qui a reçu la visite du ministre Sow. Sur place, le constat fut le même que sur le chantier précédent. Les travaux exécutés à 90% sont arrêtés pour des raisons financières. Le bâtiment R+1 comprend des salles d'hospitalisation et des bureaux. Les travaux sont également financés sur le Budget national pour un montant total de 812 869 510 FCFA, pour un délai d'exécution de 8 mois.

Le ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, Pr. Samba Sow, a insisté sur la nécessité d'achever ces chantiers conformément à la volonté du président de la République d'offrir un plateau technique sanitaire aux Maliens. "Des efforts seront consentis, malgré la conjoncture actuelle dans notre pays, pour achever les chantiers, parce que le besoin est là. Ces services, une fois opérationnels, nous permettront de réduire les évacuations sanitaires en dehors du Mali", a-t-il indiqué. Il a souligné l'importance d'avoir des équipements modernes et un personnel qualifié pour ces services. Ces deux éléments, dira-t-il, sont fondamentaux pour la satisfaction des besoins de la population en matière de santé.

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L’unité de dialyse du Point G fonctionnelle

Pr. Samba Sow, en visite à l'hôpital du Point G a visité le service de néphrologie et le laboratoire du CHU du Point G. Le ministre a constaté de visu le bon fonctionnement de l'unité de dialyse. Onze appareils de l'unité fonctionnent normalement, seulement deux sont en maintenance. Face aux conditions de travail difficile au niveau du laboratoire, Pr. Samba Sow a dit compter sur la réforme du système de santé, qui est en marche, pour mettre ce service dans les meilleures conditions de travail, en particulier et en général toutes les structures de santé de notre pays.
Il faut rappeler que le département de la santé est engagé à décentraliser les centres de dialyse. À Sikasso, les malades dialysés n'ont plus à venir jusqu'à Bamako. Ils bénéficient sur place du nouveau centre créé dans l'enceinte de l'hôpital régional de Sikasso. Le processus de décentralisation est en cours. Bientôt d'autres centres ouvriront dans d'autres régions.

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Serrer l'étau autour de la maladie à virus d'Ebola : un consortium ouest africain pour la recherche créé

 

Le ministre de la santé et de l'hygiène, Pr Samba Ousmane Sow, à présidé, ce jour à l'hôtel de l'Amitié de Bamako de la 4e conférence internationale du consortium ouest africain de la recherche clinique.
À cette occasion, le chef du département de la santé du Mali , ce consortium vise à développer la collaboration et la coopération en matière de recherche clinique sur les vaccins et les traitements par le biais d'une stratégie régionale multi-pays. Ce consortium créé en 2015 par le Liberia, la Sierra Leone, la Guinée. Le Mali y'a adhéré en 2017 à travers l'UCRC et le Centre de développement des vaccins (CVD).
Le doyen de la faculté de Médecine et d'odontosmtalogie, Pr Seydou Doumbia, a souhaité la bienvenue aux participants venus des pays de la sous région, d'Europe et d'Amérique.
Plusieurs discours ont été prononcés à cette cérémonie dont celui du recteur l'université des sciences et techniques et technologie de Bamako, Pr Adama Keita.
Les États unis d'Amérique sont un partenaire solide de cette initiative. Ce qui explique la présence de l'ambassadeur de ce pays au Mali à cette cérémonie. Paul Fomsbee à réitéré l'engagement de son pays à lutter contre la maladie à virus Ebola à travers ce consortium.
Prennent part à cette conférence de Bamako, les participants (chercheurs) venus du Bénin, du Burkina Faso, de la côte d'ivoire, du Ghana, Sénégal, de la France, du Canada...

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PR SAMBA SOW A LA JOURNEE MONDIALE DU LAVAGE DES MAINS AU SAVON "En se lavant régulièrement les mains au savon, on évite plusieurs maladies"

Le ministre de la Santé et l'hygiène Publique, Pr Samba Ousmane Sow, a lancé le lundi 15 octobre, dans la commune rurale de N'Gabacoro Droit, les activités de la 11ème édition de la journée mondiale du lavage des mains au savon. C’était en présence de plusieurs partenaires techniques et financiers et organismes internationaux.

Selon plusieurs études, nos mains constituent l’un des principaux moyens de transmissions de maladies, surtout quand elles ne sont pas propres. D'après l'annuaire statistique 2017 du système local d'information sanitaire (SLIS), il a été enregistré 291 131 cas de diarrhées avec 139 décès dont plus de la moitié chez les enfants de moins de 5 ans et de décès liés à la diarrhée. La même source indique que 960 723 cas d'infections respiratoires aiguës avec 92 décès dont plus de la moitié chez les enfants de moins de 5 ans et 64% de décès ont été enregistrés pendant la période.
Pourtant l’adoption d’un simple geste ou comportement permet d’éviter le pire. En effet, le lavage des mains au savon est recommandé au sortir des toilettes, après le nettoyage des enfants après leurs selles, avant de préparer le repas. Aussi, il a conseillé de se laver les mains au savon avant de manger ou de donner à manger, et après tout contact des mains avec les liquides biologiques, les surfaces et les objets souillés.
L'édition 2018 de la journée dédiée à l’observance de cette pratique a été lancée, dans la commune rurale de N'Gabacoro Droit, par le ministre de la Santé et de l'hygiène Publique, Pr. Samba Ousmane Sow, en présence du représentant de l'OMS au Mali, Dr Lucien Manga, des chefs coutumiers et religieux, des autorités de N'Gabacoro Droit et de la région de Koulikoro, en présence également de plusieurs autres partenaires techniques et financiers de notre pays.
Le thème retenu cette année est : "Des mains propres, une recette pour la santé".
Au cours de cette cérémonie plus de 1000 kits de lavage des mains avec savon ont été distribués aux scolaires présents. Des kits à usage publics ont également distribués entre les écoles de la commune. Il s’agit d’amener davantage de communautés, à partir de cette commémoration, d’intégrer cette pratique simple, et moins couteuse dans leurs habitudes quotidiennes, pour lutter contre des maladies comme la grippe, les infections respiratoires, le trachome, les diarrhées, les intoxications alimentaires, la malnutrition, et même la maladie à virus Ebola. Les artistes Mahamadou Dembélé dit Dabara, Batoma Kouyaté et la Troupe théâtrale Karim Diarra ont véhiculé de messages captivants de quoi attirer l’attention de toutes les couches sociales sur l’importance de cette pratique. Cette journée de lancement annonce une séries d’activités de sensibilisation et de promotion du lavage des mains au savon sur toute l’étende du territoire nationale.
Au nom des communautés, le maire de Ngabakoro Droit, Modibo Dembélé s’est engagé à faire adopter cette pratique par sa population.
Vivement l’édition 2019

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