Dans le but de satisfaire un besoin urgent identifié dans le domaine du développement des capacités dans le Système d’Information Sanitaire de Routine (SISR) des formations sanitaires et communautaires, un séminaire est organisé du 13 au 31 mai 2013 par l’Institut Supérieur de Management de la Santé (ISMS) du Centre Africain d’Etudes Supérieures en Gestion (CESAG) à Dakar (Sénégal).

Un médicament générique est un médicament vendu sous sa en Dénomination Commune Internationale (DCI). Il est  équivalent  au  médicament de marque (spécialité) de par sa substance active (le principe actif) qui est identique à celle du produit de marque, les seules différences possibles sont la présentation et les excipients.

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Le gouvernement du Mali a entrepris depuis 1998 une réforme budgétaire axée sur les résultats et la performance. A partir de 2009, l’application de la nouvelle directive de la  Gestion Axée sur les Résultats (GAR) par l’UEMOA a exigé que le projet de loi des finances se présente sous forme de programmes avec des documents comme le projet annuel de performances, le rapport annuel de performances, la programmation budgétaire et économique pluriannuelle.

Tenue à l’OMS, la réunion du Cluster santé-Mali du mercredi 06 mars 2013 a enregistré la participation de plusieurs partenaires impliqués dans la recherche de solution en santé pour la gestion de la crise au Mali. Après la cérémonie d’ouverture, la majeure partie des  travaux se sont déroulés sous forme de présentations  suivies de discussions.

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www.campagnetousetchacun .ml, est le nouveau site web pour la réduction de la mortalité maternelle, néonatale et infantile au  Mali. En effet le vendredi  08 Mars 2013 le Ministre de la Santé, Soumana Makadji a procédé dans la salle de conférence de son ministère au lancement du site web de la « Campagne Tous et Chacun » en présence du Directeur de Save the Children Monsieur Thomas Mc Cormack, le Directeur Général de l’Agence Nationale de Télésanté et d’Informatique Médicale,  les partenaires techniques et financiers et  plusieurs autres personnalités.

La vitamine A est une vitamine liposoluble, présente dans la viande, le foie, les produits laitiers et les œufs, les fruits, les carottes, les légumes verts et l’huile de palmier rouge. Ce micronutriment joue  un rôle essentiel dans le renforcement du système immunitaire.  Sa carence peut provoquer non seulement la cécité chez l’enfant mais aussi d’autres maladies comme la diarrhée, la rougeole et les infections respiratoires aiguës. Des chercheurs sénégalais, se sont récemment penchés sur le statut en vitamine A de nourrissons âgés de six mois afin d’évaluer leur statut en vitamine A en relation avec le signalement par leur mère d’une prise de suppléments en vitamine A après l’accouchement.

A priori ce n'est pas grave mais bien ennuyeux, et cela reste aujourd'hui une cause majeure de visite à son médecin traitant dans les pays développés : le rhume, infection due à plus de 200 virus différents et qui associe à des degrés divers congestion nasale, maux de gorge, céphalées, toux, fièvre et autres... Il y a bientôt un siècle, la vitamine C (Vit C), qui venait d'être découverte, était proposée en traitement et rapidement adoptée par de nombreux patients ; un postulat qui a gagné ses lettres de noblesse dans les années 1970, quand le prix Nobel Linus Pauling a validé une étude contre placebo lui accordant des propriétés préventives et un certain effet d'allègement des symptômes. La question, pourtant, n'était pas définitivement réglée ; ou au moins méritait-elle confirmation, les détracteurs de la Vit C restant nombreux...

Depuis janvier 2012, le Mali est confronté à une crise humanitaire et sanitaire complexe aux conséquences multiples et éprouvantes pour la population. En effet le déplacement massif des populations, la limitation de l’accès aux soins liée à la destruction des infrastructures, la rupture de l’approvisionnement en médicaments et intrants médicaux, l’arrêt du fonctionnement des services de santé (avec le départ du personnel et des ONG), sont autant de préoccupations auxquelles le Cluster Santé-Mali va apporter sa contribution. Ainsi un plan de contingence  permettra d’assurer une réponse  du secteur de santé à faire face aux conséquences humanitaires et sanitaires de l’escalade du conflit armé. La mise en œuvre du plan permettra de prendre des mesures d’atténuation pouvant sauver des vies, réduire la morbidité et alléger les souffrances des populations vulnérables selon des scénario définis par des acteurs humanitaires.

Les différentes réunions du Cluster Santé permettront non seulement de renforcer les échanges dans le cadre du partenariat mais aussi seront mises à profit pour faire le plaidoyer  pour la mobilisation des ressources et la mobilisation sociale autour du plan.

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Le Cluster santé a organisé sa réunion ordinaire le mercredi 20 février 2013 sous la coprésidence du  Représentant de l’OMS, Dr Ibrahima Socé-Fall et du Conseiller en Santé Publique  du Ministère de la santé, Dr Mountaga Boré.

Structures présentes à la réunion :

Ministère de la Santé, DNS, OMS, MAHSPA, DNDS, ALIMA/AMCP, ONG Santé-Diabète, UE, CARE Inter, Save The Children, CSLS,  ALIMA, USAID, CRF, CHU Point G,  MDM-B, HCR, MDM-F, Groupe URD, CARE, IMC, UNFPA, ONUSIDA, UNICEF, SMARA, CDC, INFSS, SE/HCNLS,CRF,   MSI Mali, ONUSIDA, DNDS, Ambassade pays Bas, Ambassade France, Croix rouge Malienne, MERLIN, GIP/ESTHER, CNOM, ANTIM, ACDI, Santé, ENDA MALI

Points inscrits à l’ordre du jour :

• Etat de mise en œuvre des décisions de la réunion du 13 Février 2013,
• Présentation de la situation humanitaire et Sanitaire
• Analyse du risque d’épidémies de rougeole
• Plan spécifique de vaccination des régions du nord,
• Evaluation de la capacité de réponse des établissements de santé
• Tour de table des partenaires

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