2003_Annuaire Staistique des Hopitaux |
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MINISTRE DE LA SANTE REPUBLIQUE DU MALI
SOMMAIRE
INTRODUCTION LE SYSTEME D'INFORMATION ET D'INFORMATISATION DES HOPITAUX (par l’ANEH) DONNEES 2003 DES HOPITAUX ETAT DU SIH DANS LES EPH : résultats d’une enquête par questionnaire ANNEXES
La CPS a décidé de faire de la revitalisation du SIH une de ses activités prioritaires pour les années 2004 et 2005. Le Directeur de la CPS INTRODUCTION Le schéma directeur du Système National d’Information Sanitaire et Sociale (SD-SNISS) du Mali a été validé en mars 1998. Ce schéma directeur s’articule autour de quatre sous systèmes coordonnés par la Cellule de Planification et de Statistiques (CPS) du Ministère de la Santé : le sous système d’informations sanitaires, le sous système d’informations sociales, le sous système sur la recherche, les études et enquêtes et enfin le sous système d’informations administratives. •Fournir aux chefs de service les informations nécessaires pour leur permettre d’analyser leur activité, mesurer la performance de leur service et formuler des recommandations pour l’amélioration de la prise en charge des patients dans leur service. Les différents outils de recueil des données du SIH ont été validés lors d’un atelier qui s’est tenu du 27 septembre au 1er octobre 1999 à Bamako ; il s’agit : •Du rapport mensuel interne Ces supports ont été mis en place dans l’ensemble des hôpitaux du pays dès le mois d’octobre 1999. Seuls le dossier médical et les tableaux de bord des services devaient faire l’objet d’observations et de corrections éventuelles par les hôpitaux. Il n’y a plus eu toutefois de rapports d’activité sur les hôpitaux depuis l’année 2000. Aujourd’hui, les données des hôpitaux ne parviennent plus de façon systématique à la CPS, pourtant théoriquement chargée de leur exploitation et diffusion au niveau national. Le présent document, fruit du travail concerté de l’ANEH et de la CPS, se compose de quatre parties : •Chapitre 1 : Le système d’information et d’informatisation des hôpitaux •Chapitre 2 : Données 2003 des hôpitaux •Chapitre 3 : Etat du système d’information hospitalier dans les établissements hospitaliers publics maliens : résultats d’une enquête par questionnaire •Annexes Un état des lieux a montré que le SIH connaît de nombreuses lacunes, entre autres: Ces informations doivent permettre de :
Après avoir identifié les informations utiles à collecter dans le cadre du système d'information hospitalier, il convient de procéder à l'automatisation de toutes les procédures automatisables.
Chapitre 2 : Données 2003 des hôpitaux METHODOLOGIE
Les données centralisées à la CPS ont été saisies et exploitées sur l’application développée sur le logiciel EPISURV. Les tableaux ont ensuite été convertis au format WORD pour être retravaillés et inclus dans le document final. Pour cette édition de l’annuaire, les commentaires ont été essentiellement descriptifs.
1. Consultations externes Près de deux consultations sur trois déclarées par les EPH du Mali en 2003 ont eu lieu dans les cinq établissements situés dans la capitale ou à proximité immédiate : Gabriel Touré, IOTA, Kati, CNOS et Point G. Au total, 529 600 consultations externes ont été déclarées par les EPH du Mali en 2003. Tableau 1 : Ensemble des consultations externes déclarées par les EPH du Mali en 2003 et proportion de consultants référés parmi l’ensemble des consultants externes déclarés
Avec une valeur moyenne de 4,8 consultations pour 100 habitants, le taux de recours aux EPH reste bas, surtout dans les régions périphériques Les 529 600 consultations externes déclarées par les EPH en 2003 représentent, pour l’ensemble du pays, un taux de recours de 4,8 consultations pour 100 habitants.
Le taux de recours à l’hôpital public régional peut être comparé, pour une région donnée, au taux de recours aux structures de premier niveau (CSCOM et CSREF) (tableau 3) ; ce dernier est selon les régions de 2 à 10 fois plus élevé que le taux de recours à l’hôpital public. Tableau 3 : Comparaison des taux de recours à l’hôpital public et aux structures de premier niveau dans les régions de Gao, Kayes, Mopti, Ségou, Sikasso et Tombouctou Les consultants des EPH régionaux résident de façon majoritaire dans la commune d’implantation de l’hôpital L’origine des consultants reçus en 2003 n’est disponible que pour les hôpitaux de Gao, Kayes, Mopti, Ségou, Sikasso et Tombouctou (tableau 4). De façon générale, une majorité de consultants (75 %) vient de la commune d’implantation de l’hôpital, à l’exception notable de Tombouctou (23 % de consultants en provenance de la région, hors cercle). Les EPH en région périphérique jouent peu le rôle d’établissement de référence, et paraissent majoritairement utilisés par la population comme des hôpitaux de proximité. Tableau 4 : origine des consultants reçus dans les EPH des régions périphériques du Mali en 2003 L’origine des consultants peut parfois ne pas être mentionnée ; ils peuvent également être originaires, dans une faible proportion, d’autres régions ou pays. 2. Hospitalisations Une capacité d’hospitalisation faible… Les 11 EPH du Mali totalisaient en 2003 une capacité d’hébergement de 1 641 lits (tableau 5), soit 0,15 lits pour 1 000 habitants, et ont réalisé 43 997 admissions, soit 4,0 admissions pour 1 000 habitants. Tableau 5 : Hospitalisations dans les EPH du Mali en 2003 : nombre de lits, nombre d’admissions, durée moyenne de séjour, taux d’occupation des lits Le nombre de lits pour 1 000 habitants des régions périphériques est systématiquement inférieur à la valeur moyenne nationale (0,15 p 1 000 habitants), exception faite de la région de Gao qui apparaît relativement bien dotée, compte tenu de son faible effectif de population (tableau 6). Tableau 6 : Capacité d’hébergement et taux d’admission par région périphérique du Mali en 2003
Afin de pouvoir procéder à des comparaisons entre établissements, les principaux indices d’activité des services de court séjour (médecine, chirurgie, obstétrique) sont présentés dans le tableau 7. Pour cette présentation, les lits d’hébergement de l’IOTA et du CNOS ont été considérés comme des lits de chirurgie. Tableau 7 : Hospitalisations de court séjour dans les EPH du Mali en 2003 : nombre de lits, nombre d’admissions, durée moyenne de séjour, taux d’occupation des lits, pour chaque hôpital et par secteur Par hospitalisation de court séjour, on entend les hospitalisations en médecine, chirurgie, obstétrique 3. Activités de maternité Les naissances vivantes enregistrées dans les EPH en 2003 représenteraient à peine 2,5 % des naissances vivantes attendues La plus grande part des accouchements, effectués dans les 8 EPH assurant des activités de maternité, ne donne pas lieu à une hospitalisation, ce qui explique que les activités de maternité fassent l’objet d’une présentation à part (tableau 8). Tableau 8 : Activités de maternité dans les EPH du Mali en 2003 : accouchements, naissances vivantes, enfants de poids inférieur à 2 500 gr, césarienne, décès maternels 4. Mortalité La mortalité hospitalière est de l’ordre de 10 % de l’ensemble des admissions La mortalité dans les EPH ne peut être calculée que sur le nombre d’admissions, en l’absence de distinction actuelle entre les admissions (c'est-à-dire le nombre de séjours hospitaliers enregistrés) et les admis (les individus hospitalisés). Tableau 9 : Mortalité dans les EPH du Mali en 2003 5.Activités de laboratoire et d’imagerie médicale Les activités de laboratoire et d’imagerie ont représenté respectivement 132 587 et 66 871 actes en 2003 Le volume des activités de laboratoire (tableau 10) s’est élevé à 132 587 actes en 2003 (sachant que les données du Point G n’étaient pas disponibles), avec de grandes variations selon les établissements, certains hôpitaux régionaux déclarant une activité presque équivalente à celle d’un établissement national comme Gabriel Touré. Tableau 10 : Activités de laboratoire dans les EPH du Mali en 2003 Les activités d’imagerie (radiographie standard et échographie) ont représentées 66 871 actes en 2003, dont plus de la moitié (56 %) a été réalisée par les deux établissements de Gabriel Touré et du Point G. Tableau 11 : Activités d’imagerie dans les EPH du Mali en 2003
Chapitre 3 : ETAT DU SIH DANS LES EPH : résultats d’une enquête par questionnaire La Cellule de Planification et de Statistiques du Ministère de la Santé (CPS Santé) a été amené à réaliser, au cours du dernier semestre de l’année 2004, une enquête par questionnaires auprès des 11 établissements publics hospitaliers du Mali. MATERIEL ET METHODES Un questionnaire d’évaluation a été envoyé aux 11 EPH du Mali par courrier le 14 juin 2004. Ce questionnaire comportait trois volets : En raison du petit nombre de données à traiter, l’exploitation des questionnaires a été réalisée de façon manuelle par la Division Statistiques et Documentation (DSD) de la CPS. RESULTATS Onze EPH sur onze ont retourné le questionnaire d’évaluation du SIH à la CPS. 1. Etat des lieux du SIH : Les onze EPH ont déclaré avoir mis en place un SIH. Au moins un agent au sein de l’établissement était spécifiquement en charge du système d’information, à l’exception du cas du Centre National d’Odonto Stomatologie (CNOS), qui n’a pas de chargé du SIH. Les supports de recueil de données mis en place en 1999 suite à la tenue d’un atelier national sur le SIH à Bamako sont connus et utilisés de façon variable selon les établissements (tableau 1). Tableau 1 : Utilisation des différents supports du SIH dans les EPH du Mali en 2004 Seuls sept hôpitaux sur onze ont déclaré que ces supports étaient utilisés dans l’ensemble des services. Dans les autres établissements, ces supports sont utilisés par certains services uniquement, dans une proportion allant de 40 % (IOTA) à 88 % (Kayes, Tombouctou). La question portant sur l’utilité des supports a été renseignée par dix établissements sur onze. Les réponses à cette question étaient ouvertes. De façon générale, les réponses, souvent imprécises, font apparaître une confusion entre le registre des prestations externes et le registre des consultations externes, une définition variable du tableau de bord des services, une faible connaissance du registre des prestations internes et de la fiche journalière d’activité Six hôpitaux sur dix ont déclaré transmettre les supports de recueil de données au chargé du SIH dans les 15 jours du mois suivant (IOTA, GT, Point G, CNOS, Gao, Sikasso) ; pour les cinq autres (Kayes, Tombouctou, Mopti, Kati, Ségou), il n’existe pas de délai de transmission fixe. Cinq hôpitaux (CNOS, Point G, IOTA, Sikasso, Ségou) ont déclaré que la direction de leur établissement transmettait le rapport trimestriel aux services centraux dans le mois qui suit le trimestre écoulé.Pour un établissement (Gao), cette transmission se fait dans le trimestre qui suit le trimestre écoulé ; pour trois hôpitaux (Mopti, Tombouctou, Kayes) il n’existe pas de délai de transmission fixe ; un hôpital (Kati) ne connaît pas la date de transmission du rapport, un hôpital (Gabriel Touré) a déclaré ne pas transmettre le rapport aux services centraux. Les données d’activité de l’hôpital font l’objet d’une analyse en réunions avec les différents services pour huit hôpitaux. Cette analyse est trimestrielle pour quatre établissements (IOTA, Gabriel Touré, Tombouctou et Sikasso), semestrielle pour le CNOS et le Point G, annuelle pour Mopti, autre (non précisé) pour Gao. Les personnes ayant rempli les questionnaires pour les hôpitaux de Kayes, de Kati et de Ségou ont déclaré ne pas savoir si les données d’activité étaient effectivement analysées au sein de l’hôpital. Six établissements ont déclaré que tous les malades étaient enregistrés au bureau des entrées, mais cinq (Sikasso, Gao, Tombouctou, Ségou, IOTA) ont répondu par la négative à la question. Seuls trois établissements (Gabriel Touré, Point G et IOTA) ont déclaré avoir un bureau des entrées informatisé. Pour les autres établissements ayant répondu au questionnaire, l’informatisation est prévue à court ou moyen terme (tableau 2). Seul l’hôpital de Sikasso a déclaré que l’informatisation de son bureau des entrées n’était pas programmée pour l’instant. Tableau 2 : Etat d’informatisation du bureau des entrées des hôpitaux de IOTA, Gabriel Touré, Point G, Kayes, Tombouctou, Mopti, Gao, Kati, CNOS, Sikasso en 2004 2. Evaluation du niveau d’équipement informatique par hôpital Les hôpitaux de IOTA et Gabriel Touré disposent d’une application de gestion du bureau des entrées sous ACCESS ; le Point G n’a pas précisé sous quel logiciel était développée l’application de gestion de son bureau des entrées. L’ensemble des établissements ont au moins un service informatisé, sauf Ségou qui n’a pas répondu à cette question (tableau 3). Tableau 3 : Nombre de services informatisés déclarés par les hôpitaux de IOTA, Gabriel Touré, Point G, Kayes, Tombouctou, Mopti, Gao, Kati, CNOS, Sikasso en 2004 Tous les hôpitaux ayant répondu, à l’exception de Gao, ont déclaré disposer d’une connexion internet (tableau 4). Tableau 4 : EPH disposant d’une connexion internet, Mali, 2004.
Seuls Kati et le CNOS ont déclaré l’existence de programmes antivirus à jour sur leurs ordinateurs. Les ordinateurs de IOTA, Point G, Tombouctou, Mopti, Gao, Sikasso, Ségou sont dépourvus de cette protection. Un schéma directeur de l’informatique existe pour cinq établissements : Mopti, Kati, Ségou, Gabriel Touré, CNOS. Seuls Gabriel Touré, le Point G et le CNOS ont signalé la disponibilité des rapports d’activité de l’hôpital sur disquette ou CD Rom ; IOTA, Tombouctou, Mopti, Gao, Sikasso, Ségou ont répondu par la négative à la question. Une saisie informatique des données d’activité est pourtant en place dans six établissements (IOTA, Tombouctou, Sikasso, Kati, Gabriel Touré, Point G). Pour Tombouctou, cette saisie concerne uniquement les hospitalisations. 3. Evaluation des besoins en formation des agents chargés du SIH Onze hôpitaux ont déclaré des besoins de formation à l’analyse de données et à la saisie informatique de ces données. DISCUSSION La méthode de collecte des informations utilisée dans ce travail (remplissage des questionnaires par les structures elles même) ne permet pas de vérifier formellement d’éventuelles erreurs de remplissage, dues à l’inattention ou à une mauvaise compréhension de la personne ayant répondu ; seules d’éventuelles incohérences dans les réponses peuvent conduire à évoquer de tels problèmes. Tous les hôpitaux ont déclaré qu’un système d’information existait au sein de leur établissement, ce qui pourrait indiquer une prise de conscience du caractère incontournable d’un tel système au sein d’un hôpital. Cependant les réponses laissent apparaître un défaut d’organisation certain du système dans la plupart des établissements, et une connaissance insuffisante de sa finalité, y compris par la personne ayant rempli le questionnaire, qui était en principe le chargé du SIH lui-même. Le rapport trimestriel, support clé destiné en principe à être retourné au niveau central après avoir été analysé au sein même de l’hôpital, est déclaré connu par dix hôpitaux sur onze, mais quatre hôpitaux seulement affirment suivre de façon scrupuleuse les délais de transmissions théoriquement prévus : transmission des supports de données au chargé du SIH dans les 15 jours suivant le mois écoulé, transmission du rapport trimestriel au niveau central dans le mois qui suit le trimestre écoulé. On peut ajouter que le service central supposé recevoir ces rapports, c'est-à-dire la CPS santé, ne reçoit de façon régulière que les rapports d’un seul établissement, ce qui souligne au minimum une méconnaissance du circuit réel que doivent suivre ces rapports, qui semblent, s’ils sont vraiment envoyés, s’égarer dans des services différents du destinataire réel. Seul l’hôpital Gabriel Touré a reconnu ne pas transmettre le rapport trimestriel au niveau central. L’hôpital de Ségou a précisé transmettre à la Direction Régionale de la Santé. Si les données d’activité de l’hôpital font l’objet d’une analyse en réunions avec les différents services pour huit hôpitaux, les chargés du SIH de trois établissements ont déclaré ne pas savoir si les données recueillies étaient effectivement analysées. Dans une configuration idéale, c’est pourtant le chargé du SIH qui devrait être responsable de la mise en forme et de la présentation aux différents services de l’hôpital des données d’activité dont il a centralisé le recueil, de leur validation, et enfin de leur envoi au niveau central. L’organisation formelle du circuit du malade dans l’établissement est une condition préalable à la mise en place d’un SIH fonctionnel. Cette condition est à priori remplie par tous les hôpitaux. Cependant cinq d’entre eux ont reconnu que tous les malades ne passaient pas par le bureau des entrées. Cet état de fait, synonyme d’un sous enregistrement des patients, quelles qu’en soient les raisons dont on ne peut débattre ici, ne peut permettre d’obtenir des données exhaustives, et demeure un frein important à la mise en place d’un SIH véritablement opérationnel, bien plus que l’absence d’informatisation du bureau des entrées dans huit établissements sur onze. Tous les hôpitaux interrogés disposent d’ordinateurs, et dix sur onze d’une connexion internet, deux éléments qui permettraient d’envisager dans un avenir proche une transmission électronique des données d’activité, qui pourraient se faire de façon simultanée vers l’Agence Nationale d’Evaluation des Hôpitaux (ANEH) et la CPS Santé. A l’heure actuelle cependant, la disponibilité des rapports trimestriels sur support informatique type disquette ou CD Rom n’est une réalité que pour trois établissements, bien que six établissements aient signalé l’existence d’une saisie informatique des données. Le ressenti unanime d’un besoin en formation des agents chargés du SIH parmi les hôpitaux interrogés parait souligner la prise de conscience par les établissements de l’importance insuffisante actuellement accordée au SIH ; il faut rappeler néanmoins que plusieurs formations ont été réalisées au moment de la mise en place des supports du SIH ; il est possible que le remplacement du personnel ait conduit à perdre ce noyau de personnel formé, désormais affecté à d’autres tâches. CONCLUSION En dépit de ses limites méthodologiques, cette tentative de dresser un état des lieux du SIH dans les établissements publics du Mali met en lumière un certain nombre de difficultés auxquelles se trouve confronté le système.
MINISTERE DE LA SANTE REPUBLIQUE DU MALI
QUESTIONNAIRE D’EVALUATION DU SYSTEME D’INFORMATION HOSPITALIER (SIH)
HOPITAL DE : ___________________________________________________________ Nombre de services : /_____/ Nombre de lits : /________/ DATE : ___/___/____ NOM DE LA PERSONNE AYANT REMPLI le questionnaire : ___________________ NOM DU RESPONSABLE DU SIH au sein de l’hôpital : _________________________
2.Existe-t-il un responsable du SIH dans votre hôpital ? entourez la bonne réponse 3.Connaissez vous les supports suivants ? entourez votre réponse
4.Si oui, ces supports sont ils utilisés dans votre hôpital ? entourez la bonne réponse 5.Si ces supports ne sont pas utilisés dans votre hôpital, utilisez vous d’autres supports pour le recueil de données d’activité ?
6.Pouvez expliquer brièvement l’utilité des supports suivants ? Rapport mensuel interne :
Registre d’hospitalisation :
7.A quelle date les supports de recueil de données sont ils transmis au chargé du SIH ? mettre une croix en face de la bonne réponse 8. A quelle date la direction de l’hôpital transmet elle le rapport trimestriel aux services centraux ? mettre une croix en face de la bonne réponse 9. Les données d’activité de l’hôpital font elles l’objet d’une analyse en réunions avec les différents services ? mettre une croix en face de la bonne réponse 10. Le circuit du malade est il organisé dans l’hôpital ? Entourez votre réponse 11. Pouvez vous décrire le circuit du malade dans l’hôpital ? 12. D’après vous, tous les malades sont ils enregistrés au bureau des entrées ? Entourez 13. Le bureau des entrées est il informatisé ? Entourez
QUESTIONNAIRE D’EVALUATION DE L’EQUIPEMENT INFORMATIQUE HOPITAL DE : ___________________________________________________________ Nombre de services : /_____/ Nombre de lits : /________/ DATE : ___/___/____ NOM DE LA PERSONNE AYANT REMPLI le questionnaire : ___________________ RESPONSABLE DU SIH au sein de l’hôpital : __________________________________
2. Si oui, depuis quand ? /_____________________/ Quel est le logiciel ou le programme utilisé ? /____________________/ 3.Certains services (en dehors du bureau des entrées) sont ils informatisés ?
6.Existe-t-il des programmes antivirus à jour sur les ordinateurs de l’hôpital ? 7.Existe-t-il un schéma directeur de l’informatique au sein de l’hôpital (un document précisant les besoins de l’hôpital en matière informatique sur plusieurs années) ? 9.Le recueil des données d’activité est il uniquement manuel, ou existe-t-il une saisie informatique ? Expliquez la procédure. ____________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________
QUESTIONNAIRE D’EVALUATION DES BESOINS EN FORMATION DES AGENTS CHARGES DU SIH
Nombre de services : /_____/ Nombre de lits : /________/ DATE : ___/___/____ NOM DE LA PERSONNE AYANT REMPLI le questionnaire : ___________________ RESPONSABLE DU SIH au sein de l’hôpital : __________________________________
Formation à l’utilisation des supports de données /__/ _________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________ 2. S’il n’y a pas actuellement d’agent chargé du SIH, qui pensez vous qui pourrait assurer cette fonction ? ----------------------------------------------------------------------------------Quels seraient alors les besoins en formation de cette personne ? cochez Formation à l’utilisation des supports de données /__/ suite du tableau suite |
Mise à jour le Jeudi, 10 Février 2011 12:13 |