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Info Ebola Congo: SITUATION ÉPIDÉMIOLOGIQUE DANS LA PROVINCE DU NORD-KIVU

  • Publié dans EBOLA
La situation épidémiologique de la Maladie à Virus Ebola en date du 13 novembre 2018 :
  • Depuis le début de l’épidémie, le cumul des cas est de 341, dont 303 confirmés et 38 probables. Au total, il y a eu 215 décès (177 confirmés et 38 probables).
  • 50 cas suspects en cours d’investigation.
  • 2 nouveaux cas confirmés à Beni.
  • 3 nouveaux décès de cas confirmés à Beni.    
  • 1 nouvelle personne guérie à Mabalako.
 

Remarques:
  • Afin d’éviter que le nombre total de cas varie (à la hausse ou à la baisse) quotidiennement, les cas suspects ont été placés dans une catégorie séparée. Ainsi, les cas suspects dont les tests laboratoires se sont révélés positifs seront ajoutés dans la catégorie des cas confirmés alors que ceux qui sont négatifs (non cas) seront retirés du tableau.
  • La catégorie des cas probables reprend tous les décès notifiés pour lesquels il n'a pas été possible d'obtenir des échantillons biologiques pour confirmation au laboratoire. Les investigations permettront de déterminer si ces décès sont liés ou non à l’épidémie.
  • Un décès communautaire est un décès survenu dans la communauté, en dehors d'un centre de santé agréé.

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Info Ebola Congo: SITUATION ÉPIDÉMIOLOGIQUE DANS LA PROVINCE DU NORD-KIVU

  • Publié dans EBOLA
La situation épidémiologique de la Maladie à Virus Ebola en date du 11 novembre 2018 :
  • Depuis le début de l’épidémie, le cumul des cas est de 333, dont 295 confirmés et 38 probables. Au total, il y a eu 209 décès (171 confirmés et 38 probables).
    • Les investigations ont permis d’invalider 11 décès historiques (cas probables) et d’identifier 14 cas probables supplémentaires.  
    • Suite au nettoyage des bases de données des cas confirmés, les doublons ont été supprimés et les cas confirmés ont été classés dans leur zone de santé d’origine et non plus dans la zone du Centre de Traitement d’Ebola (CTE) dans lequel ils ont été traités.
  • 49 cas suspects en cours d’investigation.
  • 2 nouveaux cas confirmés à Beni.
  • 1 nouveaux décès de cas confirmés à Butembo.    
  • 3 nouvelles personnes guéries à Beni
 

Remarques:
  • Afin d’éviter que le nombre total de cas varie (à la hausse ou à la baisse) quotidiennement, les cas suspects ont été placés dans une catégorie séparée. Ainsi, les cas suspects dont les tests laboratoires se sont révélés positifs seront ajoutés dans la catégorie des cas confirmés alors que ceux qui sont négatifs (non cas) seront retirés du tableau.
  • La catégorie des cas probables reprend tous les décès notifiés pour lesquels il n'a pas été possible d'obtenir des échantillons biologiques pour confirmation au laboratoire. Les investigations permettront de déterminer si ces décès sont liés ou non à l’épidémie.
  • Un décès communautaire est un décès survenu dans la communauté, en dehors d'un centre de santé agréé.

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le point des épidémies de MVE/RDC au 18 octobre 2018; et de la Dengue au Sénégal au 14 octobre 2018.

  • Publié dans EBOLA

Le comité d’urgence d’Ebola en RDC du Règlement Sanitaire International (RSI 2005) de l’OMS s’est réuni cette semaine pour évaluer à nouveau la situation. Il a conclu qu’une urgence de santé publique de portée internationale ne devrait pas être déclarée pour l’instant.
Cependant, l’OOAS maintient sa recommandation sur la vigilance aux niveaux des portes d’entrée avec la prise systématique de la température des voyageurs en provenance de la RDC dans tous les pays de la CEDEAO.
L'épidémie de dengue dont l'épicentre est Fatick, s'est propagée dans une autre région, Diourbel. Notez que ces régions n'ont pas de frontières avec notre pays (en savoir plus et voir carte dans le SitRep joint).

Lutte contre les maladie : Le concept "Une seule santé " pour circoncrire les crises sanitaires

Le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Pr. Samba Sow, a lancé, le vendredi 2 novembre 2018 dans l’amphithéâtre II de la Faculté des sciences et techniques, les activités de la journée “Journée une seule santé”. L’objectif de cette journée est de promouvoir, par la sensibilisation des populations au niveau mondial, le concept “une seule santé”. Pr. Samba Sow a affirmé, à cet effet, qu’ “il n’y a pas de santé humaine, sans santé animale, sans santé alimentaire”.

Habituellement la Journée internationale est célébrée le 3 novembre de chaque année. Cette année, cette date coïncidant avec un jour férié, le Mali a décidé d’avancer sa célébration au vendredi 2 novembre 2018.

Depuis 2008, une dizaine d’organisations internationales dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE) et la Banque mondiale ont élaboré un cadre de référence fondé sur un concept appelé “une seule santé”. Ce concept ne se limite pas seulement qu’aux zoonoses, mais englobe l’ensemble des pathologies ayant un impact sur la santé publique et la sécurité alimentaire.

Le Mali a adhéré à cette initiative depuis 2016 et a institutionnalisé, par un décret PM-0369, l’approche “une seule santé” avec l’appui des partenaires à travers la plateforme nationale “Une seule santé”.

Elle a pour but de sensibiliser sur l’approche “une seule santé” et d’encourager la collaboration entre les acteurs impliqués dans la gestion sanitaire. A ce jour, plusieurs activités sont déjà réalisées par la plateforme qui sont, entre autres, le plan stratégique “une seule santé” et le manuel de gouvernance de la plateforme.

Dans un amphithéâtre bondé d’étudiants, Pr. Samba Sow s’est dit convaincu que la plateforme nationale “Une seule santé” permettra d’avoir un impact significatif dans la prévention, la détection et la riposte aux événements de santé publique dans notre pays. Il a affirmé, que conformément à la volonté du président de la République, Ibrahim Boubacar Kéita, le gouvernement s’est engagé à apporter son soutien indéfectible à cette plateforme.

Selon le ministre Sow, la crise sanitaire causée par la maladie à virus Ebola a démontré non seulement les limites de notre système de santé (d’où la nécessité de la réformer), mais aussi mis en évidence la nécessité d’une collaboration entre tous les acteurs impliqués directement ou indirectement dans la gestion de santé.

Pr. Samba Sow a également insisté sur la mise en commun des expériences multisectorielles et multidisciplinaires en matière de santé. “Il n’y a pas de santé humaine, sans santé animale, sans santé alimentaire”, a-t-il ajouté. Il a profité de l’occasion pour échanger avec les étudiants sur les questions de santé dans notre pays.

Visiblement très à l’aise dans cet exercice, le ministre Sow s’est prêté aux questions des étudiants. Il leur a expliqué les efforts consentis par le gouvernement sur instructions du président IBK, à travers la réforme de notre système de santé dont le but ultime est l’atteinte de la couverture sanitaire universelle et des soins de santé primaires. “Notre objectif est d’ériger tous les CS-Réf de Bamako en hôpitaux de 2e référence pour apporter des soins de qualité aux populations. C’est à cette seule condition qu’on pourra s’en sortir”, martelait-il.

Pr. Samba Sow a remercié les partenaires techniques et financiers pour leur accompagnement dans l’amélioration de la santé des populations maliennes.

A.D

Lutte contre la cécité : AID au Mali pour sauver des vues

 

 

 

Le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique Pr. Samba Sow a reçu, le vendredi 2 novembre 2018, à son cabinet, une délégation de l’Alliance internationale Doctors (AID), une ONG turque qui intervient dans le domaine de la santé. L’objectif de cette visite était d’échanger sur les besoins de notre pays dans la lutte contre la cécité en vue d’apporter des solutions.

Les échanges se sont déroulés en présence des membres du cabinet du ministre et d’Ibrahim Kontao, coordonnateur général de l’ONG Al Farouk, partenaire d’AID au Mali.

La délégation turque était conduite par Dr. Mevilt Yurtseven, directeur général d’AID. En partenariat avec Al Farouk, AID soigne présentement 2000 personnes atteintes de cécité dans notre pays.

L’ONG turque envisage de construire un hôpital au Mali, qui permettra de traiter à long terme 40 000 patients souffrant de la cécité. Au bout de 5 ans, AID cédera l’hôpital au gouvernement malien. Elle dispose déjà d’un hôpital de ce genre au Niger. Les activités d’AID sont financées par la Banque islamique de développement (BID).

Dr. Mevilt Yurtseven, directeur général d’AID a remercié les autorités maliennes pour leur accueil chaleureux. A ses dires, leurs actions visent à permettre aux Maliens démunis d’avoir accès au traitement contre la cécité.

Le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Pr. Samba Sow, s’est dit très honoré de la visite des responsables d’AID. Il a, au nom du président de la République, Ibrahim Boubacar Kéita, remercié la délégation pour sa bonne initiative, qui, selon lui, permettra de sauver des vues.

Il a souhaité, dans le cadre de la réforme de notre système de santé prônée par le président IBK, que le futur hôpital d’AID soit construit à Koutiala pour diminuer les évacuations de personnes atteintes de la cécité sur Bamako. Le ministre Sow a également sollicité l’appui de l’ONG turque pour la résolution des problèmes d’eau, de dialyse et de scanner dont souffrent certains hôpitaux dans notre pays.

Dr. Mevilt Yurtseven a promis d’analyser les besoins soulignés par le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique. Les deux parties ont convenu de la mise en place d’une équipe technique composée d’AID, du département de la Santé et de l’Hygiène publique et l’ONG Al Farouk, pour bien évaluer la situation, avant le retour de la délégation en Turquie.

L’imam Ibrahim Kontao, coordonnateur général de l’ONG Al Farouk, a fait des bénédictions pour que le projet puisse apporter le bonheur au peuple malien et pour le retour définitif de la paix dans notre pays.

A. D.

 

 

 

LUTTE CONTRE LE TRACHOME : Bientôt un nouveau traitement introduit au Mali

Le ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, Pr Samba Sow a profité de la cérémonie de lancement de la campagne de distribution gratuite de moustiquaires imprégnées à longue durée à Sikasso pour annoncer l’introduction du nouveau traitement (Azythromycine) contre le trachome dans notre pays. Selon le ministre, ce traitement, qui a fait ses preuves en Éthiopie, au Malawi et au Kenya, sera bientôt disponible à Bamako et à Sikasso, conformément à la volonté des plus hautes autorités de notre pays. De l’avis du Pr. Samba Sow, ce traitement, en plus d’être efficace contre le trachome, a permis de réduire le taux de mortalité infantile (de 0 à 5 ans) et des femmes enceintes dans les pays où il est pratiqué de nos jours.
Source : l'Indicateur du renouveau

Info Ebola Congo: SITUATION ÉPIDÉMIOLOGIQUE DANS LA PROVINCE DU NORD-KIVU

  • Publié dans EBOLA
La situation épidémiologique de la Maladie à Virus Ebola en date du 4 novembre 2018 :
  • Au total, 300 cas de fièvre hémorragique ont été signalés dans la région, dont 265 confirmés et 35 probables.
  • Sur les 265 confirmés, 151 sont décédés et 88 sont guéris. Les autres sont hospitalisés dans les différents Centre de Traitement d’Ebola (CTE) installés.
  • 41 cas suspects en cours d’investigation.
  • 2 nouveaux cas confirmés, dont 1 à Beni et 1 à Kalunguta.
  • Aucun nouveau décès de cas confirmé rapporté ce jour.
  • 7 nouveaux guéris à Beni.
 


Remarques:
  • Afin d’éviter que le nombre total de cas varie (à la hausse ou à la baisse) quotidiennement, les cas suspects ont été placés dans une catégorie séparée. Ainsi, les cas suspects dont les tests laboratoires se sont révélés positifs seront ajoutés dans la catégorie des cas confirmés alors que ceux qui sont négatifs (non cas) seront retirés du tableau.
  • La catégorie des cas probables reprend tous les décès notifiés pour lesquels il n'a pas été possible d'obtenir des échantillons biologiques pour confirmation au laboratoire. Les investigations permettront de déterminer si ces décès sont liés ou non à l’épidémie.
  • Un décès communautaire est un décès survenu dans la communauté, en dehors d'un centre de santé agréé.
Actualité de la riposte
 
Mobilisation sociale
  • Le club des fans du FC Barcelona de Beni a organisé un concert de soutien aux actions de la riposte et de la paix ce dimanche 4 novembre 2018. Plusieurs milliers de personnes étaient réunies pour profiter de ce moment musical animé par le musicien Demba dans l’enceinte de la mairie de Beni.
Vaccination
  • Depuis le début de la vaccination le 8 août 2018, 26.463 personnes ont été vaccinées, dont 14.033 à Beni, 4.436 à Mabalako, 2.152 à Katwa, 1.663 à Mandima, 1.435 à Butembo, 690 à Masereka, 434 à Bunia, 407 à Kalunguta, 355 à Tchomia, 240 à Komanda, 178 à Oicha, 150 à Mutwanga, 160 à Musienene et 130 à Vuhovi.

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LUTTE CONTRE LE PALUDISME: Plus 2 197 994 MILD pour 346 403 ménages à Sikasso

 

Le Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, Pr Samba Ousmane Sow, a officiellement lancé l’édition 2018 de la campagne de distribution gratuite de moustiquaires imprégnées d’insecticide de longue durée d’action (MILD) dans la région de Sikasso, le jeudi 1 novembre 2018, au centre de santé communautaire de wayerma II dans la commune urbaine de Sikasso. Pour la campagne 2018, il est prévu la distribution de 2 197 994 MILD à 346 403 ménages dans la région de Sikasso.

Selon le système d’Information sanitaire, le paludisme a constitué 32% des motifs de consultation (DHIS2, février 2017) avec des répercussions socio-économiques sur les populations. Les enfants de moins cinq, les femmes enceintes, les populations déplacées, les citadins en sont les plus vulnérables. En 2017, il a été enregistré 2 097 797 cas de paludisme dans les formations sanitaires dont 1 424 223 cas simples, 673 574 cas graves, 1050 décès notifiés, avec un taux de létalité de 0, 50%.L’un des meilleurs moyens de lutter efficacement contre le paludisme est de dormir sous une moustiquaire imprégnée d’insecticide à longue durée d’action. Selon RBM ITN Working Group Mars 2004, avec 80% de couverture en moustiquaire imprégnée d’insecticide on peut réduire de 50% le nombre d’épisodes de paludisme par les populations et 10% le nombre de décès parmi les enfants de moins de 5 ans par an. Les approches de distribution des MILD au Mali sont la routine et la campagne de masse. La distribution de routine ne concerne que la cible PEV(les enfants de moins d’un an qui constituent 4% de la population) et la cible CPN(les femmes enceintes qui constituent 5% de la population). La couverture universelle est mise en place pour couvrir le reste de la population (plus de 90% de la population) en vue de réduire le réservoir de parasites et la transmission du paludisme.

C'est pour assurer une couverture universelle (100%) de la region de Sikasso en raison de 1 MILD pour 2 personnes; sensibiliser et protéger 80% de la population de la région contre le paludisme à travers l'utilisation de la MILD d'ici fin décembre 2018, que l'Etat malien avec l'appui du Fonds mondial, du USAID/PMI et du PSI-Mali organise cette campagne. Elle intervient après celle de la région de Koulikoro lancée, le 7 juillet 2018 à Baguineda. La campagne 2018 dans la région de Sikasso concerne 346 403 ménages pour une population de 4 487 620 habitants dont le besoin réel en MILD est 2 197 994 MILD. Elle mobilisera du 3 au 7 novembre 2018, dans la région de Sikasso, 4934 agents de dénombrement, 2559 agents distributeurs, 504 superviseurs de proximité, 40 superviseurs du niveau district sanitaire, 10 superviseurs au niveau central, 2456 mobilisateurs sociaux et 50 radios de proximité. Le coût de la campagne s'élève à 404 millions de FCFA, financés par Le fonds mondial de lutte contre la tuberculose, le VIH SIDA et le paludisme.

Le représentant du chef du quartier de Wayerma II, Amadou Bengaly a remercié le gouvernement et ses partenaires pour le choix porté sur son quartier pour le lancement de la campagne, qui permettra de sauver des vies.

Selon Kalfa Sanogo, maire de la commune urbaine de Sikasso, la campagne de distribution gratuite de MILD est un acte de sauvetage publique surtout dans une zone humide comme Sikasso où le paludisme handicape les forces productrices. A ses dires, cette campagne contribuera au développement économique de Sikasso. Il a également appelé les populations à faire bon usage des nouvelles moustiquaires.

Alex Brown, représentant résident du PSI Mali, a, au nom du fonds mondial, loué les efforts consentis par le gouvernement du Mali dans la lutte contre le paludisme. Il a aussi rassuré l’Etat du Mali de l’accompagnement du fonds mondial pour vaincre le paludisme, la tuberculose et le Sida "Nous sommes très fiers d'être un partenaire de programme national de lutte contre le paludisme", a-t-il ajouté.

Le Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, Pr Samba Ousmane Sow, a d'abord rendu un vibrant hommage au feu Pr Ogobara Doumbo pour ses efforts dans la lutte contre le paludisme au Mali et dans le monde entier. Il a ensuite remercié la population, les autorités coutumières et religieuses et toute l'équipe médicale de Sikasso pour leur accueil chaleureux. Il a, au nom du Président de la République Ibrahim Boubacar Keita et du gouvernement, réitéré la gratitude du Mali aux partenaires techniques et financiers pour leur soutien dans la lutte contre le paludisme en particulier et en général dans la l'amélioration de la santé des Maliens. Il a affirmé que le gouvernement malien, à travers le ministère de la Santé et de l'Hygiène Publique, ne menagera aucun efforts pour vaincre le paludisme "la lutte contre le paludisme a toujours été au cœur des priorités du Président de la République Ibrahim Boubacar Keita en témoigne sa derrière mission assignée au gouvernement" a martelé le ministre Sow.
Source : l'Indicateur du renouveau

 

 

 

Info Ebola Congo: SITUATION ÉPIDÉMIOLOGIQUE DANS LA PROVINCE DU NORD-KIVU

  • Publié dans EBOLA
La situation épidémiologique de la Maladie à Virus Ebola en date du 30 octobre 2018 :
  • Au total, 279 cas de fièvre hémorragique ont été signalés dans la région, dont 244 confirmés et 35 probables.
  • Sur les 244 confirmés, 144 sont décédés et 81 sont guéris. Les autres sont hospitalisés dans les différents Centre de Traitement d’Ebola (CTE) installés.
  • 51 cas suspects en cours d’investigation.
  • 3 nouveaux cas confirmés, dont 2 à Beni et 1 à Vuhovi.
    • Vuhovi est une nouvelle zone de santé située entre Beni et Butembo. Il s’agit du mari d’un cas confirmé décédé au CTE de Butembo le 26 octobre 2018. Il avait refusé le suivi et le transfert au CTE. Il est décédé au centre de santé de Vuhovi où le prélèvement a pu être effectué.
  • 4 nouveaux décès de cas confirmés dont 2 à Beni, 1 à Butembo et 1 à Vuhovi.
  • 7 nouveaux guéris, dont 6 à Beni et 1 à Butembo.
  • 5.679 contacts à suivre à ce jour.
 


Remarques:
  • Afin d’éviter que le nombre total de cas varie (à la hausse ou à la baisse) quotidiennement, les cas suspects ont été placés dans une catégorie séparée. Ainsi, les cas suspects dont les tests laboratoires se sont révélés positifs seront ajoutés dans la catégorie des cas confirmés alors que ceux qui sont négatifs (non cas) seront retirés du tableau.
  • La catégorie des cas probables reprend tous les décès notifiés pour lesquels il n'a pas été possible d'obtenir des échantillons biologiques pour confirmation au laboratoire. Les investigations permettront de déterminer si ces décès sont liés ou non à l’épidémie.
  • Un décès communautaire est un décès survenu dans la communauté, en dehors d'un centre de santé agréé.

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Ouverture des dossiers de candidatures pour le master de biologie - MALI

  • Publié dans EBOLA

Afin de pérenniser les acquis du BAMS, la Fondation Mérieux a soutenu la création d’un master intégré au cursus de l’Université des Sciences, Techniques et Technologies de Bamako.

Ce master de biologie médicale est mis en œuvre par la Faculté de Pharmacie de l’USTBB, en partenariat avec le Centre d’Infectiologie Charles Mérieux à Bamako (CICM Mali), la Fondation Mérieux et l’École Supérieure de Biologie-Biochimie-Biotechnologies (ESTBB) de l’Université Catholique de Lyon.

Cette formation, dont la première rentrée est en décembre 2018, est destinée à tout étudiant de l’Afrique francophone ayant validé une licence en biologie, biologie médicale ou un diplôme équivalent de niveau bac+3. Le programme est ouvert en formation initiale et formation continue, il se déroule durant quatre semestres au CICM Mali. Vous trouverez ci-joint une fiche descriptive.

Date limite de dépôt de dossier : 15 novembre 2018 au bureau du Secrétariat du Doyen de la Faculté de Pharmacie/USTTB (Notification de réponse 1 décembre 2018).

Vous trouverez l’appel à candidature aux liens suivants :

  • Site de la Fondation Mérieux :

https://www.fondation-merieux.org/ce-que-nous-faisons/echanger-partager-connaissances/cours-formations/formations-diplomantes/ (FR)

  • Site du CICM :

http://www.cicm-mali.org/nos-activites/formations-et-echanges-scientifiques/master-de-biologie-medicale/