Réunion annuelle de planification conjointe des activités du Projet Paludisme et Maladies Tropicales Négligées au Sahel (P/MTN)
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le vendredi 03 février 2017 la ville de Siby a abrité le lancement officiel de l’introduction du vaccin MENAFRICVAC dans le PEV de routine du MALI
sous la présidence de Madame la Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique représente par le Secrétaire Général du dit département Dr Bakary DIARRA
accompagné par le Directeur National de la Santé et le chef de Cabinet du Ministère de la Santé sans oublier les partenaires notamment GAVI, l’UNICEF, l’OMS, l’USAID, ROTARY et les autorités locales de Siby.
Pour un rappel historique sur cette maladie et les progrès réalisés dans sa lutte au Mali.
La méningite est une maladie infectieuse, redoutable, qui se reconnait par les signes suivants : la fièvre, les vomissements, la raideur au cou, la somnolence, la confusion et la désorientation. Chez le nouveau-né et le nourrisson, les symptômes classiques à savoir la fièvre, les maux de tête, la raideur au cou peuvent être absents ou difficiles à déceler ; le sujet peut simplement paraître plus lent, amorphe ou irritable, avoir des vomissements ou manquer d’appétit.
La maladie survient sous forme de poussées d’épidémies récurrentes en général, au 1er trimestre de l’année et touche toutes les classes d’âge avec une prédilection pour celle de moins de 30 ans. Le Mali fait partie des pays de la « ceinture de la méningite » qui couvre en partie 21 pays au sud du Sahara s'étendant du Sénégal à l'Ethiopie. Ces pays sont le théâtre de fréquentes épidémies. La dernière grande épidémie au Mali est survenue en 1997 avec 11 228 cas notifiés dont 1126 décès, soit une létalité de 10% et un survivant sur cinq garde des incapacités définitives, perte de l'audition, arriération mentale ou paralysie par exemple.
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Pr Rokia Sanogo, enseignante chercheure de Pharmacognosie à l’USTTB et Cheffe du Département Médecine Traditionnelle (DMT) de l’Institut Nationale de Recherche en Santé Publique (INRSP) de Bamako a reçu le 24 janvier 2017 auprès du siège de l’Union Africaine le prix Kwame Nkrouma 2016 pour les Femmes Scientifiques. Ce prix couronne plus de 28 ans d’engagement au service de la valorisation des ressources de la Médecine Traditionnelle au Mali et ailleurs. Sa compétence, sa rigueur, son engagement et son travail acharné dans le domaine de l’enseignement et de la recherche sur les plantes médicinales d’Afrique ont été ainsi reconnus et récompensés. Née à San en 1964, docteur en pharmacie à Bamako en 1990, spécialisée en Pharmacognosie en 1995 et Ph.D. en Pharmacognosie à l’Université de Messine (Italie) en 1999, la Prof Sanogo a commencé à enseigner la Pharmacognosie en Pharmacie en 2001 à l’Université de Bamako. Inscrite maître assistante du CAMES en 2005, la Prof Sanogo, depuis 2008, est la première femme du Mali agrégée en Pharmacie par le CAMES. C’est ainsi qu’à partir de 2009, elle a participé à l’encadrement et aux soutenances de thèses de Ph.D, de doctorant(e)s africain(e)s du Congo Brazzaville, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Benin, Guinée Conakry, Togo et Niger. Elle est aussi experte de l’Organisation Ouest Africaine de Santé dans l’espace CEDEAO pour l’élaboration des monographies des plantes médicinales et responsable de l’étude de leur toxicité, dans le cadre de la réalisation de la Pharmacopée de l’Afrique de l’Ouest. Elle en outre collabore avec l’OMS dans le domaine de la valorisation de la Médecine Traditionnelle. La prof Sanogo participe également à l’enseignement et la recherche sur les plantes médicinales africaines auprès des Facultés de Pharmacie d’Université d’Afrique, d’Italie et de France. Elle enseigne aussi au Cours d’Ethnopharmacologie Appliquée de la Société Française d’Ethnopharmacologie à Metz (France). Prof Rokia est l’auteur de plus de soixante-dix publications scientifiques sur les propriétés biologiques et la chimie des plantes médicinales du Mali et d’ailleurs, ainsi que de plusieurs ouvrages sur les aspects sociaux, économiques, culturels et de Santé Publique de la Médecine Traditionnelle Africaine. En tant que femme, en plus des thèmes généraux de recherche, ses projets sont surtout orientés à l’approfondissement des problèmes spécifiques aux femmes (mortalité maternelle, mutilations génitales féminines, contraception, stérilité, dysménorrhées, troubles liées à la ménopause, etc.). Pour faire en sorte que son engagement pour la valorisation de la médecine traditionnelle puisse avoir un impact réel sur la santé des populations, la Prof Sanogo depuis 2003 est promotrice et présidente d’Aidemet Ong. L’engagement de la Prof Sanogo pour la médecine traditionnelle a des racines profondes : “Mon grand-père paternel, Issa Magnan Sanogo, qui était un célèbre chasseur et thérapeute traditionnel de notre zone, s’était occupé d’une femme qui avait des difficultés à avoir des enfants, avec un résultat positif. Après sa mort, la femme est retournée chercher le même traitement pour une autre femme. Malheureusement, personne ne connaissait la recette qui avait permis à de nombreuses femmes d’avoir des enfants ». Mais la Lauréate regarde aussi vers le future: “Mon souhait, c’est de pouvoir capitaliser les riches expériences accumulées, de valoriser les nombreuses compétences qui existent, ainsi que les différentes opportunités qui se présentent, pour parvenir à la création d’une plateforme pluridisciplinaire autonome de formation, de recherche et de développement pour la valorisation des ressources de la Médecine Traditionnelle, avec la pleine implication des dépositaires des savoirs traditionnels de santé ». L’Equipe d’Aidemet Ong
Mardi 31 janvier 2017 le Sécretaire Général du Ministere de la Santé et de l'Hygiène Publique Dr Bakary DIARRA a participé dans la salle de conférence de l'OMS à l'assemblée générale ordinaire de CCM (Mécanisme de Coordination National) des subventions du Fonds Mondial dans le cadre de la lutte contre le VIH Sida, le Paludisme et la Tuberculose.
Dans le cadre du renforcement du système de santé du Mali et en vue de lutter contre la mortalité maternelle, infantile et néonatale, le Représentant de l’OMS, Dr Lucien Manga a procédé le mardi 31 janvier 2017, à la remise au Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique, d’un important don de matériel roulant et équipements.
La cérémonie s’est déroulée au Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique en présence du ministre de la santé et de ses collaborateurs.
Cent vingt-neuf millions de FCFA (129 000 000 FCFA), telle est la valeur du don octroyé par l’OMS, composé de 9 véhicules Toyota, des pièces de rechange et des équipements de photothérapie pour la prise en charge des nouveaux nés.
En remettant un échantillon des clés à Mme la ministre de la santé, le Représentant de l’OMS dira que le don vise à soutenir les efforts du gouvernement du Mali dans la supervision et la lutte contre la mortalité maternelle, infantile et néonatale.
Pour sa part, la ministre de la Santé a au nom du gouvernement du Mali remercié l’OMS pour cet appui combien nécessaire pour l’atteinte des résultats dans le domaine sus-cité. Les véhicules ajoute-t-elle, seront destinés aux régions du nord où la crise humanitaire et sécuritaire entrave toute action de développement. Elle a enfin rassuré quant à l’utilisation rationnelle du don au bénéfice des populations du Mali.
Abdoulaye CISSE OMS
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Ce lundi 30 janvier 2016 Dr Bacary DIARRA, le Secrétaire Général du Ministère de la Santé et de l'Hygiène Publique a effectué une séance de travail préliminaire avec des consultants engagés par l'OMS pour le Ministère de la Santé à travers le Programme National de Lutte contre la Tuberculose (PNLT) dans le cadre de l'évaluation à mi parcours du plan stratégique 2015-2019.
A l’instar d’autres pays, le Mali a intensifié ses activités depuis 1986, en passant de plus de 16024 cas recensés en 1992 dans 1163 villages à 5 cas dans les régions de Ségou, Tombouctou et Gao en 2015 et à 0 cas humain en 2016.
Selon une enquête réalisée par le Programme d’Eradication du Ver de Guinée (PEVG) en 1991/1992, il a été enregistré 9154 cas à Mopti, 6504 cas à Kayes, 277 cas Ségou, 89 cas à Koulikoro. La région de Sikasso et le district de Bamako étaient indemnes de ver de Guinée.
En 1995, il a été recensé 1947 cas de ver de Guinée dans la région de Gao et 537 cas pour la région de Tombouctou en 1996
Ce résultat qui fait suite de l’engagement du Mali, lors de la revue internationale du programme d’éradication organisée à Atlanta, du 09 au 11mars 2016 à parvenir à zéro(0) cas de ver de Guinée sur son territoire fin 2016, est le résultat de l’ensemble des acteurs (personnel socio-sanitaire et partenaires notamment le centre Jimmy Carter, OMS, UNICEF, HDI,..) œuvrant dans ce sens, ainsi qu’à l’implication de la population .
Cependant, 11cas d’infection ont été recensés chez des chiens dans le district sanitaire de Tominian dans la région de Ségou. Certes, nous sommes parvenus à l’arrêt de la transmission chez les hommes, mais de nombreuses zones d’ombre persistent quant à la compréhension de l’évolution de la maladie chez les animaux.
La cérémonie de pose de la première pierre du siège de l'Agence Nationale de Télésanté et d'Informatique Médicale (ANTIM) aura lieu ce vendredi 16 décembre 2016 à partir de 09h00 sous la présidence de Madame le Ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique, Dr marie Madeleine TOGO à Hamadallaye entre la Maternité Renée Cissé et le centre des impôts de la commune IV du district de Bamako.
Monsieur le Premier Ministre, Chef du Gouvernement ;
Madame, Messieurs les Présidents des Institutions de la République ;
Mesdames, Messieurs les membres du Gouvernement ;
Excellence mesdames, mmessieurs les Ambassadeurs ;
Monsieur le Secrétaire exécutif du Haut Conseil National de Lutte contre le Sida ;
Monsieur le Gouverneur du district de Bamako ;
Monsieur le Maire de la commune V du district de Bamako ;
Mesdames messieurs les membres des cabinets ministériels ici présents
Monsieur le Représentant résident de lOMS ;
Mesdames messieurs les partenaires multi et bilatéraux ;
Monsieur le chef de file des Partenaires Techniques et Financiers ;
Mesdames messieurs les représentants des services centraux, rattachés et personnalisés des différents départements ministériels
Madame la Présidente du Réseau Malien des Associations des Personnes Vivant avec le VIH ;
Distinguées Notabilités de Bamako ;
Mesdames, Messieurs les Représentants de la presse publique, privée et du RECOTRADE;
Honorables invités ;
Mesdames, Messieurs,
Cest un grand honneur et un agréable devoir pour moi de madresser à vous à loccasion de la cérémonie de lancement de la journée mondiale de lutte contre le sida.
Monsieur le Premier ministre, chef du Gouvernement
Je voudrais, avant tout propos, rendre un hommage particulier à Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEITA, Président de la république, Chef de lEtat, Président du Haut Conseil National de lutte contre le Sida, pour son engagement personnel dans cette lutte, non seulement sur le plan national mais également sur le plan international.
Je voudrais également vous dire merci, Monsieur le Premier ministre, Chef du gouvernement, pour tout ce que vous faites à la tête du Gouvernement et surtout dêtre venu présider en personne cette cérémonie de lancement malgré votre emploi de temps que nous savons très chargé.. Mes remerciements vont à tous mes collègues du gouvernement, pour leur implication dans la lutte contre le SIDA à travers les cellules sectorielles.
Monsieur le Premier ministre ;
Mesdames messieurs ;
La date du 01 décembre, faut-il le rappeler, consacre la célébration de la Journée Mondiale de Lutte contre le Sida. Cette année, notre pays le Mali, célèbre la 29ème Edition sous le thème « « Dépistage et Traitement pour tous » et comme slogan « le Dépistage Maintenant et Partout au Mali »
Ce thème sinscrit dans le cadre de laccélération du dépistage pour faciliter la mise rapide sous traitement antirétroviral et rompre la chaîne de transmission pour aller à lélimination de la maladie en 2030 conformément aux Objectifs Durables de Développement (ODD) et pour le SIDA pédiatrique dès 2018- 2020.
La lutte doit donc être intensifiée dici 2020 en mettant un accent particulier sur lobjectif trois fois quatre-vingt-dix afin que :
90% des personnes connaissent leur statut sérologique ;
90% de toutes les personnes diagnostiquées séropositives reçoivent un traitement antirétroviral ;
90% de toutes les personnes qui reçoivent un traitement antirétroviral aient une charge virale indétectable.
Latteinte de lobjectif «trois fois quatre-vingt-dix (3x90)» ne sera possible sans laccès universel à la prévention, aux traitements et au soutien.
Au Mali, avec une prévalence de 1,1% en 2012, le nombre de personnes infectées a été estimé à environ 100 000 personnes.
Aussi, depuis plusieurs années, le Mali sest lancé dans la dynamique de « laccès universel » en posant des actes sur lensemble du territoire national pour laccélération de la prévention et la décentralisation du traitement.
Les résultats obtenus, monsieur le Premier ministre, sont appréciables en termes de disponibilité des services de prévention et de traitement. La gratuité des soins et du bilan ont été instaurés au Mali depuis 2004, ce qui a favorisé laccès dun plus grand nombre de Maliens aux services de prévention, de traitement et de soutien.
Cela a été possible, grâce non seulement, à lengagement du gouvernement du Mali, mais aussi à laccompagnement constant des différents acteurs de la lutte contre la maladie qui sont les partenaires techniques et financiers et les nombreuses ONG, associations et Fondations.
Monsieur le Premier ministre ;
Mesdames, Messieurs ;
Les résultats obtenus au 30 septembre 2016 sont les suivants:
Dans le domaine de la Prévention de la Transmission du VIH de la Mère à lEnfant, en terme de document normatif notre pays dispose désormais dun plan National dElimination de la transmission Mère enfant 2015-2019 dont la dissémination a été faite dans toutes les régions et districts sanitaires.
Lactivité de prévention de la transmission mère-enfant est disponible dans 652 sites PTME en 2016, contre 446 en 2015 soit 206 nouveaux sites. Cela a permis de conseiller et de sensibiliser 275 537 femmes enceintes en consultation prénatale, parmi lesquelles, 178 168 ont accepté de faire le test de dépistage du VIH : 1 272 se sont avérées séropositives soit un taux de séropositivité de 0,71% contre 1,09% de la même cible en septembre 2015 .
Sur les 1 272 femmes enceintes séropositives, 1212 ont bénéficié de la prophylaxie ARV soit 95,28% contre 79,68% en septembre 2015 .
Dans le cadre du suivi des nouveaux nés 18 mois après leur naissance, sur 269 nouveaux nés de mères séropositives ayant suivi la PTME, 248 nouveaux nés ont été séronégatifs au VIH soit 92,19%.
Dans le domaine de la prise en charge,
91 sites de prise en charge globale, répartis sur lensemble des régions, sont fonctionnels parmi lesquels 73 offrent la prise en charge pédiatrique.
Le nombre total de personnes séropositives mises sous ARV et suivies régulièrement est de 36 927 en 2016 contre 33 740 en 2015, soit 3 187 personnes de plus.
Dans le domaine du suivi biologique des personnes vivant avec le VIH
Si en 2015, nous ne disposions que de 42 appareils de comptage des CD4 fonctionnels sur 63 disponibles, en 2016, 51 appareils sont fonctionnels, ceci grâce à un contrat de maintenance signé avec la société ASL dun montant de 177 264 320 FCA, financé sur budget dEtat. A ceux-ci, il faut ajouter 11 appareils de charge virale. Il est à noter que nous avons également bénéficiés en octobre 2016 dun complément de 34 appareils neufs et mieux adaptés au climat tropical, un don de la société ASL que nous saluons au passage.
Dans le domaine de la sécurité transfusionnelle,
Aucune transfusion sanguine nest faite sans la pratique des tests obligatoires. Ainsi, 51 223 poches de sang collectées en 2016 ont été testées au VIH, à la Syphilis et aux virus de lhépatite B et C à travers 8 antennes du Centre national de transfusion sanguine créées dans les capitales régionales.
A ces différentes actions, sajoute la distribution gratuite des préservatifs et des supports de prévention aux acteurs de tous les secteurs de la réponse nationale.
Dans le domaine du financement de la lutte contre le SIDA
Le Mali et ses partenaires techniques et financiers notamment le Fonds mondial ont investi rien que dans lachat des réactifs, des ARV et la maintenance près de 5 milliards de FCFA en 2015 et plus de 6 milliards 220 millions de FCFA en 2016. Ces montants ne prennent pas en compte la prise en charge sur le fonds Mondial de plus de 230 agents pour plus de 2 milliards de FCFA de masse salariale annuelle.
Monsieur le Premier ministre
Mesdames et Messieurs ;
Ces indicateurs illustrent à suffisance les efforts fournis par le Mali pour faciliter laccès des populations aux services de prévention et de prise en charge.
Cependant, de nombreux défis restent à relever pour atteindre laccès universel au dépistage et au traitement
Ces défis ont pour nom :
la pérennisation des acquis à travers la mobilisation des ressources internes car les financements extérieurs alloués au Mali pour la lutte contre le VIH et SIDA ont toujours été largement supérieurs aux financements nationaux. Ce défis est au cur des préoccupations des plus hautes autorités et je voudrais renouveler ici mes remerciements à Monsieur le Premier ministre qui a renouvelé lengagement du Mali à créer et à alimenter le Fonds national de lutte contre le SIDA lors du sommet de reconstitution des ressources du Fonds mondial à Montréal (Canada) en septembre 2016,
le renforcement du système de santé, car le pari de la lutte contre la maladie ne peut pas se gagner sans un système de santé fort, ce qui a été unanimement souligné par les participants et les PTF lors de nombreuses rencontres internationales dont celles de Nairobi au Kenya en août 2016, de Montréal en septembre 2016 et Rotterdam aux Pays Bas en octobre 2016. Les leçons doivent être tirées de lépidémie dEbola.
la maîtrise de lépidémie dans les groupes vulnérables et marginalisés,
lintensification de la prévention surtout dans les zones à risques tels que dorpaillage et vu le contexte de conflit armé et dinsécurité que vit le Mali depuis 2012.
Monsieur le Premier ministre,
je ne saurais terminer sans renouveler les remerciements aux partenaires techniques et financiers pour leur accompagnement et solliciter leur engagement à soutenir davantage les efforts du Mali dans la lutte contre le sida, aux cellules sectorielles de lutte contre le SIDA de tous les départements impliqués dans la lutte, à lensemble des acteurs socio- sanitaires des secteurs publics, privés notamment communautaires pour leur engagement et leur dévouement dans lutte contre le VIH et le sida.
Je les exhorte à plus de persévérance pour le maintien de nos acquis car sans leur effort au quotidien il ny aura pas de résultats.
Quant à mon département, nous nous engageons à tout mettre en uvre tout, à travers la Cellule Sectorielle de Lutte contre le VIH et le SIDA, pour assurer loffre de service de prévention, de traitement et de soutien aux différents niveaux de la pyramide sanitaire.
Jeunes du Mali engagez vous dans la lutte contre le SIDA
Moi je m'y engage !!!
Je vous remercie !